CARMEN MC CALLUM
Mazzere
2056. Corse.
L’île de beauté va être frappée par Tino, un cyclone de force 4 sur l’échelle de Saffir-Simpson. Carmen va devoir braver cette tempête pour pénétrer là où elle doit aller, impérativement . Sa cible est la résidence de De Cambre, son ancien patron. Ce dernier aurait mis sa tête à prix…
Par berthold, le 20 avril 2010
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Collection s :
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Sortie :
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ISBN :
9782756020211
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Notre avis sur CARMEN MC CALLUM #10 – Mazzere
La nouvelle McCallum revient pour la seconde partie de ce nouveau cycle qui est baigné dans les dérèglements climatiques.
Je dois bien avouer que, même si par moments, j’ai pu trouver certains passages un peu bavards au début, j’ai aussi trouvé que la seconde partie est bien plus nerveuse et prenante.
C’est sûr que Fred Duval connait bien toutes les ficelles du métier pour donner aux lecteurs un divertissement de qualité.
Ici, il va intégrer une tempête nommée Tino qui pourrait bien bouleverser les plans de la belle McCallum. Mais comme elle est intrépide et qu’elle n’a pas froid aux yeux, ce n’est pas un cyclone qui risque de l’empêcher de mener à bien sa mission.
Une autre partie que j’ai bien appréciée dans ce récit, c’est ce qui concernent le mazzerisme, le chamanisme corse que je ne connaissais pas du tout et dont, jusqu’à aujourd’hui, je n’avais jamais entendu parler. Duval rend intéressante cette partie et donne envie d’en apprendre plus.
Ce tome 10 a un suspense soutenu concernant la mission de McCallum. Le final de ce tome vous réserve une bonne surprise et les dernières cases vont vous donner envie d’avoir vite le tome 11 en main.
Emem a su s’approprier le destin de la jeune femme. Il a su faire sien les personnages de la série. De plus, il est vrai qu’il a un bon sens du rythme et de la mise en scène pour pouvoir donner aux lecteurs un tome de qualité.
Alors, attendons d’avoir le prochain tome en main pour connaitre la fin de cette aventure. En attendant, mettez vous aux abris, le cyclone Tino risque de vous emporter comme un fétu de paille !
Par BERTHOLD, le 20 avril 2010
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