CARNETS D'ORIENT (LES)
Djemilah

Alger 1836. Joseph Constant découvre les lumières de l’Orient, la chaleur du climat, les préoccupations des hommes, la beauté des femmes…
Il transcrit peu à peu ses observations, ses sentiments, dessine les contours de cette nouvelle vie : sa réalité, nuancée toutefois par l’imaginaire algérien, sa rencontre avec Djemilah, les limites, ou l’absence de limite de leur amour…

Par Valérie, le 1 janvier 2001

Notre avis sur CARNETS D’ORIENT (LES) #1 – Djemilah

Véritables carnets de voyages, les carnets d’Orient sont à la fois une peinture foisonnante de la réalité algérienne du XIXème siècle, ainsi qu’une aquarelle délicate, sensuelle de l’imaginaire culturel de l’Orient.
Quelques mots griffonnés lors de voyages, quelques dessins crayonnés pour mieux se souvenir d’un visage, quelques aquarelles peintes aux hasards des rencontres…C’est beau, très beau.
Et le talent de Ferrandez ne s’arrête pas là…Les carnets d’Orient sont un magnifique travail de recherche, de mémoire, un ouvrage documenté, superbement illustré, saupoudré d’un subtil parfum d’Orient.
Une très jolie promesse, intéressante, attachante, enivrante… et l’atemporelle beauté de Djemilah.

Par Valérie, le 4 septembre 2003

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