Cartland l'intégrale
L'intégrale
LA RIVIERE DU VENT, LES DOIGTS DU CHAOS :
– Cartland a réussi à se sortir vivant du combat opposant les Cheyennes à une autre tribu. En chemin, il rencontre un mourant atteint de la variole. Il lui fait la promesse de remettre deux lettres à Hemingford. Ces deux missives seront sources d’ennuis pour notre trappeur qui ne songeait qu’à retrouver Cecilia qu’il sent en danger de mort.
SILVER CANYON :
-1862 : Cartland est interrogé par un officier de l’armée nordiste au sujet de ce qui s’est passé à Silver Canyon. Quelques jours plus tôt, une caravane part de Santa-Fe avec à son bord une femme et sa fille, Bickelson, Stanford, Hernandez, le jeune Yankee, ainsi que Cartland, le cocher et Olsen. Parmi eux, se trouve un agent sudiste, ainsi qu’un agent nordiste qui doit intercepter le messager. Tout se jouera dans l’ancienne ville minière de Silver Canyon sous une chaleur de plomb.
Par berthold, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
2205056719
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Notre avis sur Cartland l'intégrale #2 – L’intégrale
Dargaud continue la publication en intégrale de la série "Cartland". Le tome 2 réunit les épisodes 5,6 et 7. L’éditeur, en préface, rend hommage au talent de la scénariste Laurence Harlé qui nous a quitté en ce début juin 2005.Cette intégrale est un très bon moyen de se replonger dans l’Ouest sauvage, d’apprécier cette série, et de redécouvrir leurs auteurs.
J’apprécie le talent de dessinateur de Blanc-Dumont : ses Amérindiens sont magnifiques, ses chevaux superbes et les grands espaces américains très "cinémascopes". J’apprécie aussi les scénarii "vrais" de Harlé. C’est très documenté : voir le Cheyenne "contraire" ou " Nonhuké" : dans le film Little big Man d’arthur Penn, on en aperçoit un, si vous vous souvenez bien du film. La description de l’Ouest sauvage est si bien rendue : on y croise des couards, des hommes droits, des hommes avides, lâches, appatés par le gain.
Les deux premières histoires sont un peu teintées de fantastiques. La troisième est plus classique, proche du "huis-clos". Ces récits sont d’une grande richesse. Les histoires sont instructives et divertissantes. Cartland est vraiment LA série qu’il faut redécouvrir.
Par BERTHOLD, le 18 juillet 2005
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