CATHEDRALE DES ABYMES (LA)
L'Evangile d'Ariathie

L’Empire du Sud, Tyrésie, le Sanctuaire de Dumée. XIIème siècle. Un officier interroge celle qui dirige l’endroit, la Haute Pucelle. Les soldats encerclent les autres femmes du Sanctuaire dédié à la Grande Déesse Saaphari. Najman, l’homme qui commande ce groupe armé, veut savoir où se trouve Dame Naouel Lo Shadëi. Mais comme il n’obtient aucune réponse, il frappe la Haute Pucelle, c’est sa première erreur. Ses hommes sont attaqués par les femmes. Najman sort du Sanctuaire avec d’autres guerriers, il compte mettre le feu à l’endroit. Un de ses hommes est tué par un tir d’arbalète, un Templier vient le défier, c’est un massacre ! Tous les soldats sont tués, et Najman est le dernier debout. Il a une grosse surprise en découvrant l’identité du Templier…

L’Empire du Nord. Pier, le batisseur, a réussi à construire la Cathédrale pour le Mage Ronfeld qui refuse de lui payer ce qu’il doit. Pier se retrouve sans le sou pour payer ses ouvriers et pour faire vivre sa famille. Sa réputation est en jeu. Il compte aller réclamer justice auprès de la Haute Cour de Justice de la Guilde du commerce d’Anselme en Toscann. Mais Ronfeld fait tout pour empêcher Pier de parvenir à destination…

 

Par berthold, le 7 octobre 2018

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Notre avis sur CATHEDRALE DES ABYMES (LA) #1 – L’Evangile d’Ariathie

La Cathédrale des Abymes est la nouvelle grande saga imaginée par Jean-Luc Istin.

Ce premier tome – l’evangile d’Ariathie – tient toutes ses promesses et nous offre un début de saga qui n’a pas fini de nous surprendre. C’est le cas avec ce premier volet.
D’entrée, il nous plonge dans l’action en mettant en scène l’une des héroïnes de cette série : Sinead. Petit à petit, Istin dévoile le passé de cette femme qui a réussi à faire son trou au sein des Templiers, un ordre qui refuse habituellement les femmes.
Ensuite il nous présente Pier, le batisseur, qui connait un drame.
Pour l’instant, on se demande où l’histoire de ces deux êtres se rejoindra. Mais nous sommes plongés dans des scènes de batailles, de coups tordus et de violence. Nous voyons que cette époque n’est pas faite pour les faibles.
L’intrigue est bien construite, tient en haleine et nous donne envie d’en lire plus.

Quand au dessin de Sebastien Grenier, il nous en met plein la vue. Il y a des scènes d’une grande beauté, des paysages majestueux et des vues sur la cathédrale qui sont incroyables. Son talent éclate dans ces pages, les émotions passent très bien. Son trait ne laisse pas indifferent.

Ce premier tome est une très belle surprise. Un album qui vaut la peine qu’on se plonge dans l’aventure avec Sinead. Un récit à ne pas manquer.

 

Par BERTHOLD, le 7 octobre 2018

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