Celles qu'on regrette

Celles qu’on regrette restent dans nos souvenirs !
Elles se nomment Camille, Sylvaine, Marine. Elles sont une image, un fantôme, une éphémère.. elles sont le chemin qu’on aperçoit mais qu’on n’arrive pas à retrouver.. .
Signé : Un homme .

Par MARIE, le 1 janvier 2001

Notre avis sur Celles qu’on regrette

Doux et tendre, ce petit album marque les débuts de Jean-philippe Peyraud avec une ligne « claire » très personnelle, sa façon de dessiner les nez n’appartient qu’à lui.
L’album est minuscule, taille gadget et il ne contient que 32 pages.. Evidemment il se lit vite, mais… il se relit vite aussi 😉
Les femmes de Peyraud sont longues et élégantes. Elles semblent inspirées de ces « Parisiennes » de Kiraz qui hantaient les journaux des années 60 et tournaient la tête des lecteurs avec des gags très humoristiques. Depuis, personne n’a songé à relayer le grand auteur égyptien. Pourquoi pas Peyraud.. ? A demi mesure, certes, mais on retrouve quand même une petit part de rêve qu’à laissé l’image publicitaire des femmes de cette époque.
Le thème est amusant, joli aussi. Il raconte des pensées qu’on ne dit pas toujours . D’ailleurs l’album intéresse l’éditeur qui va le rééditer avec un supplément.. alors avis aux poètes et aux rêveurs, que ce soit l’ancienne ou la prochaine édition, c’est pour vous !

Par MARIE, le 21 février 2004

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