CELLULE POISON
La main dans le sac
Zoran qui a découvert que sa soeur enlevée est présente dans une club qui fait travailler des prostituées est perturbé. Il prend contact avec elle et lui annonce, non sans avoir le coeur brisé qu’il ne pourra l’aidé tout de suite à rentrer chez elle. Il doit encore donner le change aux trafiquants avec Claire et aider sa soeur maintenant reviendrait à faire échouer l’opération.
Claire et Zoran établissent leur base d’opération du côté de l’Italie, mais l’attidude de Zoran depuis cet épisode de Tirana est troublante. Marchal, leur chef commence à douter de son équipe…
Par eric, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782205060973
Notre avis sur CELLULE POISON #3 – La main dans le sac
Pour ceux qui prennent le train en cours de route vous risquez d’être perdus, moi-même j’ai dû me replonger dans les deux premiers tomes pour être sûr de ne pas avoir râté un événement. Et bien, on peut dire que le scénario est vraiment tortueux à souhait. L’aventure de Claire est vraiment labyrinthique, Laurent Astier se plait à faire revenir son héroïne sur ses pas et par la même occasion le lecteur. Les trois tomes sont très interconnectés les uns avec les autres et ce nouvel album est très orienté sur Zoran et moins sur Clara.
Comme sur les précédents albums on parvient à retrouver la même ambiance, ce travail de bichromie permet au lecteur de naviguer dans les époques et de se sentir moins perdu en fait. Ce procédé qui fait appel à peu de teintes permet à l’auteur de mettre en place un dessin très épuré, sans trop de fioritures. Même si le style et la patte de l’auteur ne trahissent pas la filiation avec les autres albums qu’il a pu faire. Cette fausse simplicité du dessin, sur Cellule Poison, donne un résultat saisissant qui, on ne cessera de le dire risque de desservir la série elle-même. De plus, on a l’impression que le travail est parfois réalisé à la va-vite, mais c’est sans doute la technique utilisée qui donne cette impression. Car Laurent Astier, scénarise, dessine et colorise ses planches, qui sont au nombre de 94, en un peu moins d’un an, voila, la messe et dite.
Le seul bémol que l’on pourrait trouver à ce tome c’est le fait de centrer le récit sur Zoran, mais faisant parti de la cellule et étant complémentaire de Claire, c’est inévitable. En tout cas pour ceux qui aiment les puzzles, même si cela fait longtemps que je n’en ai plus fait, vous allez vour régalez avec cette série. Dire qu’il faudra encore patienter pendant deux ans pour connaître enfin les tenants et les aboutissants de cette aventure.
Par Eric, le 19 avril 2008
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