Celui qui rêvait du futur
Steve Jobs c’est Apple, c’est Macintosh, mais c’est aussi Pixar et plus tard les Imac, les Ipod, Ithune, les Iphone, les Ipad etc. Progressivement, grâce à une équipe particulièrement douée Jobs va changer le monde tel que nous le connaissons en poussant toujours plus loin le rapport de l’homme à la technologie…
Par fredgri, le 17 avril 2014
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9791093111018
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Notre avis sur Celui qui rêvait du futur
Que l’on soit ou non Mac ou Windows qu’importe, Steve Jobs reste encore l’un des plus grands génies de l’informatique moderne. Il a su fédérer des énergie pour pouvoir réaliser ses rêves les plus fous et faire entrer le numérique dans le quotidien de nombreuses personnes. ce livre retrace donc la vie de ce pionnier, sans pour autant en dresser un portrait trop lisse. En effet, les auteurs n’hésitent pas à montrer le côté caractériel de l’homme, à insister sur son nombrilisme parfois exécrable… Néanmoins, c’est intéressant de voir combien fut importantes ses idées, cette façon d’envisager le rapport à l’ordinateur, au delà de cet à priori généralement véhiculé sur le côté "pour les riches" de Mac.
Avec ce livre on entre donc dans la véritable révolution que fut pratiquement tout de suite l’apport de Jobs.
C’est à la fois très didactique et très clair, tout en sachant aussi ne pas se perdre dans un aspect excessivement technique. Car ce qui est très important c’est de comprendre en quoi les idées de Jobs furent innovantes, et non connaitre les spécificités techniques !
On peut s’imaginer au premier abord que l’album peut souffrir d’une certaine froideur et en fait pas forcément. Certes le graphisme est assez plat, inexpressif, le problème des lignes vectorielles en général, mais progressivement on s’y fait assez bien, d’autant que le scénario remplit bien, lui aussi, son office. En contre partie, on a sans cesse le sentiment d’avoir à faire à de la communication d’entreprise qui vend bien son produit ! C’est assez impersonnel, et le sujet cache bien trop le travail des auteurs. Mais c’est suffisant dirais-je. On comprend parfaitement le propos et c’est très bien comme ça !
Un hommage à un génie du 20 ème siècle !
Par FredGri, le 17 avril 2014