CERCLE DE MINSK (LE)
Le maillon perdu
Iannis Klinkert vit au Brésil depuis sa fuite de RDA, loin de ce régime dont il était pourtant un des privilégiés, et surtout loin de ses parents. Plus précisément, il est médecin dans un village d’Amazonie, et n’est jamais retourné en Allemagne depuis sa fuite. Mais ses parents meurent dans un stupide accident de voiture, et il rejoint néanmoins sa soeur Heike, restée en Allemagne, pour la soutenir dans ce moment difficile. Il ramène ensuite chez lui quelques souvenirs, dont un cadre, qui est abîmé pendant le transport : il s’en échappe un bout de papier et un morceau d’étoffe brodée. Iannis décide de faire expertiser ce dernier, tandis que de son côté, Heike prend connaissance des dernières volontés de leur père, qui semblent bien étranges et liées à ce fragment de tissu.
Par beuleu, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
2226171304
2 avis sur CERCLE DE MINSK (LE) #1 – Le maillon perdu
Lorsque j’ai trouvé cette BD en rayon, j’ai tout de suite été attiré : un scénario signé par Frank Giroud, ça ne me laisse plus indifférent depuis que j’ai beaucoup aimé d’autres de ses titres ! Et en voyant que Jean-Marc Stalner signait le dessin, je me suis fait une raison sur l’explication du temps que met à sortir le tome 4 du Maître de pierre ! 😉
L’histoire racontée dans ce tome 1 du Cercle de Minsk met bien des questions sur la table et s’annonce très intéressante, très dynamique. Chouette !
(Pour ceux qui ont lu) on se demande peut-être juste pourquoi il faut absolument que le "chin" soit mis avec les autres caractères pour que les gens du Cercle qui possèdent les pièces du "puzzle" puissent faire ce qu’ils veulent faire. (Que veulent-ils faire ? Ca, c’est encore un mystère, pour l’instant…) Pourquoi ne pourraient-ils pas "le faire" sans avoir la broderie complète ?! M’enfin, il y aura sûrement une réponse à ça plus tard.
Au niveau du dessin, en jetant juste un coup d’oeil, la première fois que je l’ai vue en rayon, je me suis fait des remarques du style "Les murs de l’hôpital sont trop lisses, trop blanc immaculé". Cela m’avait retenu au départ. Etait-ce le dessin ou la couleur qui me chagrinait ? Et puis j’ai misé sur une qualité que je souhaitais au tout : scénario + dessin + couleur, en ayant quand même pris le soin de me renseigner ça et là sur les avis de ceux qui l’avaient déjà lue (qui furent positifs).
Esteban, le coloriste, nous fait d’ailleurs part de ses petites déceptions par rapport au rendu de certaines planches. Ces petits mea culpa (je ne sais pas le mettre au pluriel !) laissent penser que plus de soin encore sera apporté aux tomes suivants, donc c’est cool, ça va aller dans le bon sens !
En conclusion, pour ceux qui comme moi hésitent un peu : mon conseil est de ne plus hésiter ! Lisez-le !!!
Par Sylvestre, le 15 mai 2006
Voici encore une BD que j’ai lue par opportunité (c’est mon cher et tendre qui l’a acquise), car je n’accroche pas au trait de J-M Stalner. Je le trouve trop « ordinaire » : pas grand chose à reprocher (quoique …), mais rien non plus à vanter.
Par contre les couleurs tiennent bien la route, et surtout au niveau scénario, rien à redire !
La mise en place de l’intrique est maîtrisée : dans ce premier tome, Franck Giroud nous étale suffisamment de pièces du puzzle pour nous interpeller, nous tenir en haleine mais en posant parfaitement ses jalons. Les ressorts sont pourtant classiques : une relique (mais hébraïque), une organisation secrète, un complot, l’avenir de l’humanité … et la sauce monte parfaitement !!!
Les rebondissements sont incessants, le rythme de ce premier tome est soutenu, et on ne voit pas trop où Giroud (dont je découvre ici le talent) veut nous mener.
Bref, une fort agréable surprise à recommander !
Par Beuleu, le 21 avril 2006
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