CHÂTEAUX BORDEAUX
Le courtier
Alexandra fait la connaissance d’un jeune et ambitieux courtier en vin lors du salon Vinexpo. Alex est séduite, mais elle ne se fait aucune illusion sur l’intérêt que pourrait avoir cet homme sur sa production. Le même jour, son frère, François, affronte sa femme Claire, qui menace de le ruiner et de tout lui prendre. Entre eux, la guerre est déclarée.
Par legoffe, le 6 septembre 2015
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Genre s :
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Sortie :
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ISBN :
9782344005828
Notre avis sur CHÂTEAUX BORDEAUX #6 – Le courtier
La saga familiale se poursuit au coeur des producteurs de vin de Bordeaux. Les auteurs dressent un univers passionnant et impitoyable où les vrais ennemis se cachent souvent derrière des visages amis, voire de la famille. Si tout ceci n’est, bien sûr, que fiction, la série est aussi faite pour mieux connaître l’environnement des vins bordelais.
Cet album, par exemple, est l’occasion de découvrir la floraison des vignes et la célèbre fête, très huppée, qui s’organise autour. On y trouve aussi la recette de la bouillie bordelaise, qui va se retrouver mêler malgré elle à… un crime ! Diable, les adversaires des Baudricourt ne reculent devant rien, décidément, pour arriver à leurs fins.
Ce sixième tome se laisse donc lire avec beaucoup de plaisir, comme toujours, même si je trouve que l’histoire piétine soudain un peu. L’album donne le sentiment d’être une transition dans la série, propre à faire avancer certains pans de l’intrigue et de mettre en avant de nouveaux personnages comme le fameux courtier dont on se doute qu’il prendra de l’importance par la suite.
Les dessins d’Espé sont réussis, comme à leur habitude. Personnages et somptueux décors sont parfaitement mis en scène par l’auteur qui valorise vraiment le Bordelais. Il est brillamment accompagné par Dimitri Fogolin, aux couleurs.
Avec tous ces atouts, « Châteaux Bordeaux » est devenue une série BD de référence sur le monde du vin. Et lorsque l’on sait combien de bandes dessinées sont parues ces dernières années sur l’oenologie, le compliment n’en a que plus de saveur !
Par Legoffe, le 6 septembre 2015