CHER DICTATEUR
Zaboulistan, my love
La révolte gronde dans les rues de la capitale Shloutsk mais Yevgueni Ier, chef suprême du Zaboulistan sourd à toute volonté de son peuple, n’en sait absolument rien, absorbé qu’il est devant son épisode de Derrick !
Craignant pour sa propre vie car forcément associé au dictateur, son fidèle conseiller Bogdan va juger urgent d’exfiltrer son patron… et de partir avec ! C’est en hélicoptère que les deux hommes s’échapperont pour aller se poser en France non loin de Paris.
Accueillis par des gitans un poil nerveux et prompts à leur désosser leur hélico, Yevgueni et Bogdan vont, après quelques palabres, être invités à un mariage au cours duquel il sera de bon ton de savoir "se tenir". Ce que le dictateur ne sait pas faire, évidemment…
Par sylvestre, le 1 octobre 2019
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782378782238
Notre avis sur CHER DICTATEUR #1 – Zaboulistan, my love
Yevgueni Ier est un cliché personnalisé, c’est le numéro 1 d’un pays de l’est inventé de toutes pièces, un dictateur beauf et bête qui pense plus à boire et à être entouré de filles qu’à s’occuper des affaires de son pays.
Yevgueni Ier est tellement bête que son conseiller le plus proche, Bogdan, parvient sans trop de peine à lui faire avaler des couleuvres ; hypothèse qui permet de quitter très rapidement le Zaboulistan (où on aurait peut-être aimé rester un peu plus longtemps) pour arriver en France où nos deux personnages "décalés" vont forcément faire des bêtises et nous amuser. Voire se moquer… de nous ! (Rhaaa, les gredins !)
Après avoir attiré sur lui les regards grâce aux deux premiers tomes de sa série L’odyssée d’Hakim qu’il scénarise et qu’il écrit, l’auteur Fabien Toulmé lâche la pression et nous offre cette "farce" mise en images par Caloucalou (Scoop).
BD d’aventure humoristique validée par le Comité Central du Fluide-Glacialistan, cette série Cher Dictateur nous promet une "échappée drôle" ! Ses personnages nous conquièrent dès ce premier tome et on n’a alors qu’une hâte : être les heureux témoins de la suite de ce premier opus qui se boit aussi facilement qu’une bouteille de grotch !
Par Sylvestre, le 1 octobre 2019