CHEVALIER ARDENT
La corne de brume

A son retour d’Hongrie (la loi de la steppe), Ardent est informé que le roi Arthus lui a retiré la gestion de son domaine de Rougecogne pour la confier à son adversaire Golo. Exaspéré, Ardent quitte à nouveau son domaine. Son errance solitaire l’amène au bord de la mer où il sauve un nauvragé. L’homme, un viking nommé Hödr, tente de se soustraire au maléfice de la sorcière Elli. Ardent tentera de l’aide de toute sa fougue.

Par zippo, le 1 janvier 2001

Notre avis sur CHEVALIER ARDENT #4 – La corne de brume

Bon album.Dans la lignée des précédents. C’est-à-dire avec beaucoup de rebondissements. Mais peut-on faire autrement lorsqu’on dessine un personnage aussi fougueux que Chevalier Ardent ?
Une nouveauté cependant : Craenhals nous amène, pour la première fois dans cette série, un élément que l’on retrouvera dans d’autres albums : le surnaturel. En effet, la sorcière Elli dispose de certains pouvoirs. Elle réussit à ensorceler à distance Hödr à l’aide de sa corne de brume (d’où le titre).

Toutefois, comme dans l’album précédent, certains éléments me tarabustent à la lecture. Dans ce tome, c’est la fois où Ardent creuse des pièges et y installe des pieux sur le pic où il est assiégé et ce, sans pelle. On peut se demander si réellement on peut creuser de tels trous, rapidement, avec nos mains. De plus, où ont-ils trouvé les branches qui ont servis à la construction des pieux ? Ils sont sur un pic rocheux, sans arbres. Mais, malgré ces éléments, il n’en demeure pas moins que c’est un bon album, avec beaucoup d’actions, et, pour la première fois dans cette série, une fin « tristounette ».

Par zippo, le 25 mars 2005

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