CHIMÈRE(S) 1887
Nuit étoilée

De retour du Panama, Chimère se rend à Amsterdam où elle espère retrouver la trace de son père, Théo, en compagnie de son ami Oscar. Mais elle doit revenir à Paris, bredouille. Chimère est plus amère qu’avant, elle revient à la Perle Pourpre. Gisèle, sa mère, est très fatiguée, elle est malade et n’a plus la force de tenir la boutique. Chimère reprend les rênes. Ce qu’elle ne sait pas, c’est que Théo est en fait son oncle. Son vrai père est le frère de Théo qui se trouve du côté d’Arles. Il est peintre et est interné dans un asile pour ses troubles psychiatriques…

Par berthold, le 6 mai 2018

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Notre avis sur CHIMÈRE(S) 1887 #6 – Nuit étoilée

C’est par une Nuit étoilée que se clot l’aventure de Chimère(s) 1887.

Pelinq et Melanyn terminent en beauté ce récit. Ils nous entrainent à la suite de leur héroïne sur les traces de la vérité sur l’identité de son père.

Les deux scénaristes nous tiennent en haleine, et nous offrent quelques bons rebondissements, avec des moments savoureux.
J’ai vraiment apprécié cette conclusion, je ne m’attendais à un tel retournement de situation.
Quand à Pelinq, cet "auteur mystère" qui a récemment dévoilé sa véritable identité, il a prouvé qu’il était capable d’écrire des histoires bien plus humaines, bien plus émouvantes que ce à quoi il nous a habitué jusque là.

Le dessin de Vincent est juste magnifique. Toutes ses pages, ses cases sont superbes. Les visions de Paris, de la région d’Arles sont très bien rendus, la visite à l’Exposition Universelle est un des grands moments. Je suis fan de sa façon de dessiner ses personnages et ses femmes qui ont une belle place dans cette série. Les couleurs apportent aussi beaucoup à cette oeuvre.

Une saga qui se termine de belle façon. Si vous n’avez pas encore eu l’occasion de vous plonger dans cette aventure, c’est le bon moment.

 

Par BERTHOLD, le 6 mai 2018

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