CHRONIQUE DE LA MAISON LE QUEANT
Leïla

Les caravanes ne sillonnent pas toujours le désert pour transporter des épices. La poudre de fusil est une denrée qui a un certain avenir, dans l‘Algérie de 1849. Tant et si bien que des commerçants, aussi bien que des militaires, en font leur commerce.

Le trafiquant Gautias s’adonne à un commerce de femmes afin d’alimenter ses maisons closes. Cet homme semble tout posséder à Biskra, et il en devient incontournable. Tant et si bien que lorsque Baptiste Le Quéant se mettra à la recherche de Leïla (qui a disparu en même temps que Kacem l’infirme) il aura non seulement affaire à Gautias, mais également au fils de celui-ci, qui la cherchait également…

Par sylvestre, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur CHRONIQUE DE LA MAISON LE QUEANT #4 – Leïla

Ce tome 4 est la suite plaisante des aventures de Baptiste Le Quéant en Algérie. On se concentre plus sur certains faits le touchant directement, mais toujours dans le contexte des conflits, des alliances et des trahisons qui existent entre les colons et les différentes tribus autochtones. Toujours également sur fond de la défense des intérêts de chacun.

J’aime toujours autant ce récit haut en couleurs et agréable à lire. Il faut cependant parfois s’accrocher pour ne pas perdre le fil des conversations, des faits, de leur importance et de leurs conséquences.

Par Sylvestre, le 23 août 2005

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