CIEL EN RUINE
Alarmstart
Niklaus Wedekind enrage, depuis qu’il a rejoint la JG 7 il n’a pas encore réussi à accrocher à son palmarès une de ces forteresses volantes qui pilonnent l’Allemagne.
Les ME 262 sont certes prometteurs mais difficiles à manier pour des jeunes pilotes en mal de formation. D’autant que le bel oiseau non seulement n’est pas exempt de défauts mais n’est pas si invincible que le pense le RLM.
Le RLM, jamais en mal d’un innovation pouvant renverser la situation invente une nouvelle arme, un missile filoguidé devant détruire les B17. Alors qu’il rencontre les stars de la JG 44 Galland et Rudorffer en tête, c’est la JG 7 qui doit expérimenter cette nouvelle arme et un volontaire doit être désigné…
Par eric, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Collection s :
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Sortie :
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ISBN :
9782888902768
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Notre avis sur CIEL EN RUINE #2 – Alarmstart
Niklaus tente tant bien que mal de laisser ses idéaux guider ses pas et ignore donc le bon Fisto. Cependant l’épisode de la désignation du volontaire pour le test du missile va sérieusement ébranler ses convictions. Ainsi contre son gré, il doit se résigner à faire alliance avec ce bon vieux Fisto. Certes le côté fantastique est omniprésent, mais les auteurs arrivent à la cacher habillement derrière un fond historique omniprésent. Sans être un documentaire, cette série permet de découvrir les visages de ses as qui ont marqué l’histoire de l’aviation. On y découvre Adolf Galland le plus jeune général de l’histoire de l’aviation our encore Erich Rudorffer l’as au 222 victoires. Même avec le présence de Fisto on découvre le dénuement dans lequel se retrouve la triste Luftwaffe en cette fin de guerre.
Sur le plan du dessin, le travail à la ligne clair donne toujours une bédé agréable à l’œil. Seuls quelques effets d’explosions seraient à revoir tout comme certains portraits. Mais au final cet album est très beau, les scènes de combat aériens sont ahurissantes quand on sait que les attaques des Me 262 étaient foudroyantes. Du coup grâce à la bédé l’instant se trouve figé.
Ce nouvel opus est toujours aussi plaisant, Il montre un Fisto qui n’est pas complètement maître de la situation et qui seul ne peut rien, comme à l’époque les machinations en coulisses sont habilement montrées par les auteurs. Même si l’on connait l’issue de cette histoire, on se prend de sympathie pour Niklaus…
Par Eric, le 13 janvier 2009
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