CITES OBSCURES (LES)
L'ombre d'un homme
Albert est un homme normal, avec ses soucis et ses difficultés, un agent d’assurances chevronné et rigoureux dans le traitement de ses affaires. Il vient juste de se marier avec une femme ravissante et otut irait pour le mieux s’il n’y avait pas ces horribles cauchemars, qui pourrissent sa vie de couple. Aussi décide-t-il de consulter un spécialiste, qui lui donne un médicament révolutionnaire, cent pour cent chimique, qui effectivement lui fait passer de bonnes nuits, sans cauchemars, mais qui a quelques effets secondaires…
Effectivement, dès le premier jour du traitement, son ombre semble avoir été dotée de propriété hors du commun, comme si Albert était devenu transparent à la lumière, son image se projetant sur le sol…
A partir de ce moment, il est pris de migraine à la lumière, il ne fait plus son travail convenablement et sa femme n’est peux plus et le quitte… Voilà Albert dans de beaux draps, et surtout avec cet ombre qui le poursuit encore et encore …
Par Siam l'Archiviste, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
2203343125
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Notre avis sur CITES OBSCURES (LES) #7 – L’ombre d’un homme
Cette fois-ci nous démarrons avec la couleur, alors que le précédent tome était en noir et blanc, les auteurs aiment vraiment varier les plaisirs, et faire plaisir à leur lectorat. Enfin, tout du moins personnellement, je me suis fait plaisir en lisant ce nouvel opus, et c’est avec plaisir que je m’attellerais au suivant. Les tomes sont souvent peu conventionnels de part leurs traitement et le nombre de pages, mais ce qui importe, c’est que l’on est plongé dans l’histoire, quelque soit sa durée. Et on ressort avec l’impression d’avoir une histoire unique dans les mains. Ce n’est pourtant qu’une histoire d’ombre, qui vient, puis s’en va, et rien qu’avec cela, les auteurs réussissent à nous tenir en haleine pendant presque quatre vingt dix pages… Ce qui n’est pas rien tout de même…
Personnellement, j’ai adoré que les deux dernières planches soient en noir et blanc, cela s’inscrit parfaitement dans l’histoire, et cela à un charme fou. Les auteurs placent ici leur histoire avec des personnages que l’on peut retrouver dans d’autres tomes, mais ne pas le savoir ne nuit en rien à la compréhension de l’histoire, et donne quelque peu envie de rechercher dans quels tomes ont aurait pu croiser telle ou telle personne… Enfin, je crois qu’avec ce septième tome, je suis définitivement accroc aux Cités Obscures, qui me plongent avec ravissement dans un univers que j’affectionne grandement. Les auteurs savent se renouveler d’histoire en histoire, de cité en cité, et à chaque fois c’est avec délice que je voyage en leur compagnie. Il me faudra donc ajouter à ma collection tous les hors série des Cités Obscures, mais n’ayez crainte, je vous en reparlerais dès que j’aurais pu me les procurer, car c’est vraiment une série qui fera date, et qui mérite qu’on s’y plonge.
En une seule phrase, lisez les Cités Obscures !!!
Par Siam l'Archiviste, le 5 décembre 2003
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