CLAYMORE
Eillen

18ème siècle, en Ecosse, Héléna la sorcière attend près d’un berceau la venue d’un homme. Ce sera Archibald Batherson qui, rentrant chez lui, au château où sa femme Ann s’apprête à mettre au monde leur bébé ,est accidenté. Son destin lui met un nourrisson dans les bras alors qu’Ann inconsciente, ignore encore la mort de son enfant. Archibald arrive juste à temps et met la superbe Eillen dans les bras de la jeune maman.
En même temps, la révolte gronde au nord du pays et les Highlands organisent la rébellion contre la domination anglaise.
Les conflits mêlent les écossais du sud et du nord, les français et les anglais, les familles s’entredéchirent.
C’est la guerre !
Archibald part combattre en laissant le château aux mains d’Eillen, devenue une belle jeune fille aux étranges pouvoirs.

Par MARIE, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur CLAYMORE #1 – Eillen

Nouvelle série qui débute dans la collection Vécu : la toile de fond se situe en Ecosse au 18eme siècle, les conflits ancestraux qui firent rage entre les Anglais, les Français qui avaient pris parti et les Ecossais du sud et du nord. La trame est intéressante mais elle n’est pas le sujet principal.
La scénariste focalise davantage sur un personnage féminin aux pouvoirs extraordinaires. Elle écrit cette histoire seule pour la première fois. D’ordinaire elle était aux côtés de son mari Jean-François Charles. Mais ces auteurs se connaissent tous très bien et la complicité entre eux est évidente.
Le résultat est très agréable, cette bande dessinée est dense, beaucoup de lecture, beaucoup de cases, beaucoup de couleurs ! Nous avons de quoi nous régaler et le mot est juste 😉
En effet, le côté fantastique du personnage principal – elle calme les loups, elle a le don de clairvoyance – au beau milieu d’un conflit brutal et injuste est plutôt anachronique. Tous les ingrédients d’une réussite sont posés et comme le dessin de Ersel est très joli (vraiment quel talent !), alors allez-y !
A savoir que « Claymore » est le nom de l’épée symbolique des grands familles écossaises.

Par MARIE, le 18 août 2003

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