Complex

Complex est le nouveau manga de la collection Vegetal Manga Shoten et un bon conseil pour aborder ce premier volume, oubliez vos préoccupations quotidiennes et replongez vous dans vos « années collège »…

Dans ce volume on rencontre Rin, jeune fille de 14 qui habite à la campagne avec son grand père pendant que sa mère travaille à Tokyo. A la mort de son grand père elle décide d’aller rejoindre sa mère. En arrivant à Tokyo elle découvre la différence entre sa campagne et la mégalopole, d’ailleurs elle se fait largement traitée de provinciale mais surtout elle découvre que sa mère est mannequin et se fait passer dans les magazines pour une jeune fille de 22 ans alors qu’elle en a 31. Vous pensez bien que l’arrivée de sa gamine de 14 ans n’arrange pas l’agence. De plus, ignorant la mort de son père, elle décide de partir en voyage avec l’homme qu’elle aime ! Rin se retrouve donc seule et sans le sou, elle décide donc de remplacer sa mère en tant que mannequin !

Par Chlorente, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur Complex

Complex est un manga qui se situe dans la même veine que Uru Kyu, Marmelade Boy ou Mint na bokura, c’est-à-dire des mangas mignons tout plein, bourrés d’humour et assez axés sur les histoires d’amour et les épreuves que doivent surmonter les jeunes adolescents.

Ce premier volume m’a fait craquer, surtout grâce à la personnalité de l’héroïne qui découvre tous les trucages du monde de la mode et de ce fait Complex peut rappeler les mangas de magical girl où des jeunes filles anodines se transforment pour devenir des héroïnes ou des stars.

Dans ce volume Rin semble un peu perdue malgré une détermination à toute épreuve mais elle est entourée par une galerie de personnages assez intéressants qui viendront très certainement s’étoffer dés le prochain volume.

En ce qui concerne le graphisme il est adorable et aussi dans la même veine que les mangas cités précédemment, c’est-à-dire des traits ronds, fins et une trame assez claire. Cela pourrait en lasser certains mais le dessin colle tellement bien au ton de l’histoire que je ne me plaindrais pas.

Par Chlorente, le 21 août 2003

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