COQ DE COMBAT
Coq de Combat
Ryô Narushima a 16 ans, il a toujours vécu dans le confort et n’avait pas de problèmes jusqu’à ce qu’il tue ses parents…
Placé en maison de correction, il subit les pires brimades et trouve son seul recours dans l’apprentissage du karaté auprès d’un étrange professeur.Une ultime entrevue avec sa soeur vont définitivement le faire tourner vers la découverte de l’esprit du combat.
Par NOFL'R, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Collection s :
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Sortie :
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ISBN :
284789019X
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2 avis sur COQ DE COMBAT #2 – Coq de Combat
Coq de Combat est un manga qu’on peut aisément qualifier de violent car les affrontements se succèdent sans cesse. Pourtant, on voit un peu de subtilités se dessiner derrière l’histoire de ce jeune meurtrier que tout le monde prend comme souffre-douleur et qui lutte pour se redresser. On accroche de suite à l’histoire et le dessin accompagne bien cela car le lecteur n’est pas ménagé par des traits torturés, des scènes de combat très réalistes et détaillées et du sang très présent tout au long du manga. C’est un style dur mais efficace qui peut plaire, en tout cas, j’y ai accroché.
Par NOFL'R, le 8 avril 2003
Violent ? Coq de combat, ça on ne peut le nier… ! Pourtant cette violence ne semble pas gratuite. Il s’agit pour le héros de trouver les moyens de survivre. Il se bat ou il meurt. Il se bat et il est le plus fort, ou il meurt !
Aucune issue possible.. C’est tuer ou se faire tuer. Le karaté est le pis allé du récit et c’est en apprenant la maîtrise de ses gestes et des gestes de son adversaire que le héros peut espérer survivre.
Le point de départ est un crime inexpliqué. Le reste de la série va peut être s’efforcer de trouver un sens à cet acte. En tout cas, le premier examen de passage est réussi pour le héros. Pour le lecteur c’est tout autre chose. Il faut s’attendre à des effets « explosifs » des nez qui saignent, des crânes et toutes autres parties du corps arrachées et mis en exergue par un dessin réaliste et précis. On ne voit que la cruauté de ce groupe d’individus de la maison de correction.
Ce milieu de vie va changer en fin de volume mais comment un être humain d’une telle violence mentale va-t-il pourvoir s’insérer dans la société ? La question reste posée. Rendez-vous donc au troisième tome en espérant que l’éducation dans la maison de redressement ait pu apprendre autre chose qu’à se battre.
Tout apprendre pour tout recommencer… En tout cas, le mangaka nous montre une chose : la répression n’est pas forcément réparatrice.
A lire si vous supportez la violence.
Par MARIE, le 27 février 2006