CROSSOVERS (LES)
les crossovers

La famille crossovers est une famille typique. Les parents, deux enfants et un chien. C’est peut être la seule chose de typique qu’ils ont. Le père est un super héros, la mère une chasseuse de vampire. La fille est une héroïne dans un monde médiéval tandis que le fils est en contact avec des extraterrestres. Chacun des membres de la famille respecte la loi de l’identité secrète, aucun des autres n’est au courant des activités des autres membres de la famille. Cette situation va être bouleversée quand les ennemis de la famille vont apprendre le nom de leur adversaire et essayer de se venger sur les autres membres de la famille.

Par fef, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur CROSSOVERS (LES) #1 – les crossovers

C’est une très bonne surprise cet album. Le résumé au dos de l’album et les dessins m’ont bien plus dans le magasin mais je n’avais pas trop d’info sur cet album. Au fur et à mesure de la lecture, j’y ai pris de plus en plus de plaisir. C’est un grand mélange de tous les genres connus. Les auteurs auraient pu traiter cela de façon sérieuse mais le fait d’avoir choisi l’humour est très bien choisi. La somme de tout les éléments stéréotypé donne quelque chose de vraiment d’original.

Cela commence de façon très classique dans chaque type d’histoire pour partir en dérision avant de faire des mélanges des différentes histoires. Au fur et à mesure, on sourit de plus en plus jusqu’à rire lors de l’utilisation de l’arme secrète du père dans le monde de la fille. C’est mon passage préféré avec le gag récurrent sur le nom des extraterrestres comment vous prononcez s- : s : – et p : pc ? .

Le dessin s’adapte à tout les styles, que ce soit avec le père en costume de super héros ou dans le monde médiéval fantastique ou se retrouve la fille. Cela donne une unité et qui fait que l’on peut passer d’un monde à l’autre facilement. Et il y a pleins de petits détails et clins d’œils. Un des automates de Mountebank me fait penser au filament de Géo Trouvetou, mais en modèle plus agressif.

Le plus gros reproche que l’on pourrait faire à cet album, c’est qu’il n’y aura pas de suite. Sur la première page on apprend que c’était une commande de l’éditeur américain qui voulait une mini série de 6 épisodes. Semic, l’éditeur français les a réunis dans un seul album.

Par Fef, le 20 février 2004

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