CRYING FREEMAN
Crying Freeman
Emu Hino, une femme de 29 ans raconte son histoire. Elle sait qu’un homme va bientôt la tuer car elle l’a vu tuer trois autres personnes dans un parc. Cet homme Yô Hinomura, surnommé crying freeman parce qu’il pleure après chaque meurtre, est le tueur principal d’une triade (la mafia chinoise), les 108 dragons. Il fait suffisamment peur à un yakusa Shudo Shimazaki, le chef de l’organisation Hakushin pour que celui ci coopère avec la police afin de l’arrêter. Il raconte tout ce qu’il sait sur les 108 dragons et le freeman. Mais cela ne servira a rien car il mourra dès sa sortie du poste de police.
Emu Hino qui était sur les lieus, reconnaît Yô, est devient un témoin de grande importance mais qui ne veux pas collaborer avec la police. La police et les yakusa protégent donc la maison d’Emu Hino mais cela n’empêche pas Yô d’entrer chez elle.
Par fef, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Genre s :
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Sortie :
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ISBN :
2752300573
Notre avis sur CRYING FREEMAN #1 – Crying Freeman
J’ai commencé à m’intéresser à cette série après avoir vu le film du même nom de Christopher Gans. L’adaptation en film est assez bien réussie car j’ai retrouvé la même ambiance dans les deux supports. Bon évidemment, il y a quelques différences entre le film et la bande dessinée originelle, mais elles sont assez minimes. C’est une version qui sort chez un nouvel éditeur 10 ans après sa première sortie en France. Cela me permet enfin de lire cette série que j’avais ‘loupé’ à époque.
Crying freeman permet de plonger dans une histoire policière sur différentes familles de la mafia asiatique (chinoise et japonaise) qui se font une guerre sans merci. Le freeman est le tueur d’une de ses familles. Il est obligé de tuer malgré lui les personnes qu’on lui désigne. On suit donc une grande partie de l’album les différents meurtres que commet Yô pour la famille des 108 dragons. Le reste de l’album est consacré à son histoire d’amour naissance avec Emu.
Pour ce qui est du dessin, j’ai toujours un peu de mal avec tout ce qui est manga. Le petit format noir et blanc couplé avec un ‘rythme’ assez lent malgré les scènes d’actions ne fait pas trop partie de mes habitudes. Je me bats un petit peu chaque fois que je lis un manga. Mais la, j’ai moins ressenti ce problème. A voir si cela continue sur le reste de la série.
Par Fef, le 6 mars 2006