CRYING FREEMAN
Crying freeman
Fu Chilan essaye toujours de maîtriser le sabre de Muramasa. Elle et Beyasan sont confrontés à une bande de bandits chinois. L’information arrive à Crying Freeman. Il decide de les rejoindre pour les protéger.
Episode 9
Iris Noir est attaquée par Oshutôgoku, un catcheur japonais. Il se sert d’elle pour attirer le Freeman. Il était soutenu par le clan Hakushin et veut aider madame Hanada à se venger de Freeman. Elle n’a pas oublié que le Freeman l’avait blessée à la fin de l’épisode 1. Le Freeman décide de venger l’Iris Noir qui a eu toutes les articulations déboîtées par Oshutôgoku.
Par fef, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Genre s :
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Sortie :
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ISBN :
2752301014
Notre avis sur CRYING FREEMAN #6 – Crying freeman
Les aventures du Crying Freeman se suivent et ne se ressemblent pas. Après l’histoire où Fu Chilan apprend à contrôler le sabre, on le retrouve dans une histoire à étapes. A chaque fois qu’il trouve son ennemi, il se rend compte qu’il y a quelqu’un derrière lui qui le pousse à le combattre. Pour une fois, ils n’essayent pas de détruire les 108 dragons mais d’en prendre le contrôle, pour que ses hommes fassent une révolution et prendre le contrôle du Japon pour imposer la religion d’une secte. Comme le Freeman, on remonte les étapes pour comprendre quel est le plan de ses ennemis. On voit comment il utilise tout ce qu’il a appris lors de son entraînement.
Comme je l’ai déjà dit, on est maintenant très loin du personnage des premiers tomes, qui était obligé de tuer les ennemis qu’on lui désignait. Maintenant, en tant que chef des 108 dragons, il a des responsabilités envers ses hommes et se montre impitoyable de son propre choix. Cela change l’atmosphère de la série, et au fur et à mesure de la lecture des tomes, je me demande quel type d’histoire je préfère. Pour l’instant, j’ai toujours une petite préférence pour le Crying Freeman des débuts, mais j’aime bien son évolution, elle apporte des histoires différentes.
Par Fef, le 24 août 2006