CRYOZONE
Sueurs froides
Le vaisseau Neil Armstrong fait route vers la première colonie humaine hors du système solaire.
Le voyage est long et n’a été rendu possible que grâce à l’utilisation de la Cryozone, un espace rempli de 10000 caissons cryogéniques. Ainsi, pendant 6 mois, une équipe de 400 personnes assure la bonne marche du vaisseau, pendant que les 9600 colons restants sont en sommeil cryogénique et ne vieillissent pas.
Mais pendant les fêtes, une explosion se produit, endommageant irréversiblement la Cryozone.
L’équipe de quart est obligé de réveiller en catastrophe les colons en quelques minutes au lieu des 16 heures requises par le manuel.
Inévitable mais fatale erreur…
Par PATATRAK, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Collection s :
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Sortie :
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ISBN :
284055058X
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2 avis sur CRYOZONE #1 – Sueurs froides
J’ai trouvé ce premier tome de science-fiction très bien construit. Le scénario est nerveux, original. Le suspense est assuré jusqu’à la dernière page, si bien qu’on a immédiatement envie de se jeter sur le second opus : machinations, machiavélisme, et un héros à l’humour… euh… spécial !
Les dessins sont dans la lignée de ce que Bajram sait faire, dynamique et précis. Les appareils et la technologie sont très bien rendu. Les couleurs aussi collent bien à la trame de l’aventure et au décor de science-fiction. Un très bon polar spatial !
Par PATATRAK, le 10 décembre 2002
Un peu d’hémoglobine pour changer, dans un décor spatial, en pleine mission de colonisation, et sur fond d’expériences militaires et pharmaceutiques. Le programme est alléchant et tient ses promesses. Ca en jette plein les mirettes, on a droit à des jolis zombies bien soignés, et on ne s’ennuie pas un instant. Si le scénario n’est pas des plus original, il a le mérite d’être vraiment sympathique, et on lit cette bande dessinée avec grand plaisir. Le dessin est, comme souvent chez Delcourt, à la hauteur des espérances, et finalement, ne déçoit pas le moins du monde. Les couleurs sont agréables, et les fonds étoilés sont vraiment bien fait, entre autres bien sûr.
Le petit plus, c’est l’élément perturbateur, qui fait vraiment décalé dans un univers de science fiction. En effet, mélanger zombies et SF n’est pas forcement aussi facile que l’on pourrait le croire, et dans Cryozone, la sauce prend bien, très bien même.
Bref, un album que j’ai apprécié, et que je relirais avec plaisir ;o)
Par Siam l'Archiviste, le 28 juillet 2003
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