CYBORG 009
Tome 14
Cyborg 009 et le professeur Gilmore ont été invités par un chercheur à venir voir la découverte extraordinaire qui a été faite dans une grotte : un sarcophage géant, mais aussi un personnage humanoïde de très grande taille ! Plein de cicatrices, il a mis d’accord tous les présents sur le fait qu’il devait être une sorte de monstre de Frankenstein. Pas si étonnant que cela, finalement, dans un monde où l’on sait que des cyborgs existent. Seulement, le comportement d’un journaliste qui se trouvait là aussi a vite fait comprendre à 009 et à Gilmore que l’avènement d’un nouvel ennemi de taille était à redouter !
Les drogues comptent de plus en plus d’accros de par le monde ; de plus en plus de victimes, aussi. Autour de nos héros, de fréquentes disparitions de consommateurs de drogue intriguent. Une enquête dans un pays producteur est donc menée qui va conduire les Cyborgs à découvrir les dessous de ce mortel trafic.
Par sylvestre, le 4 février 2013
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Collection s :
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Genre s :
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Sortie :
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ISBN :
9782723488594
Notre avis sur CYBORG 009 #14 – Tome 14
Le résumé ci-dessus ne traite que deux des quatre sujets qui composent ce quatorzième volume de la série Cyborg 009. Cette fois encore, c’est dans d’extraordinaires aventures assez indépendantes les unes des autres que le lecteur est invité. Les styles graphiques et de narration restent fidèles à ce à quoi le manga nous a habitués jusque là, avec par-ci par-là des messages humanistes, écolos ou moralisateurs selon les thèmes abordés ; parfois très sociétaux. C’est toujours aussi vintage et toujours aussi agréable à lire : oui, les pages sont nombreuses, mais l’immersion se fait sans peine !
On observera dans ce tome quelques petits détails dont on ne peut pas dire qu’ils sont récurrents : par exemple le fait que le mangaka se soit représenté lui-même à sa table de dessin à un moment donné, avec dans un phylactère une phrase qu’il prononce… à l’attention de ses personnages ! Ou l’utilisation d’un même (grand) dessin de Cyborg 009, à la fin d’une séquence, sur quatre ou cinq pages successives, faisant de cette apparition une persistance graphique qui donne ainsi son importance au héros dans la situation concernée.
Une lecture facile, qui s’adresse à tous les publics. Et qui, vous le voyez, réserve plein de petits détails à découvrir à ceux qui gardent l’œil affûté.
Par Sylvestre, le 4 février 2013