D.GRAY-MAN REVERSE
Le 49e nom

 
1000 tragédies :

Le Comte Millénaire arpente le monde à la recherche de tragédies. Il aime s’amuser du malheur de ceux qui ont perdu un être cher et n’hésite pas à leur vanter une technique de résurrection qu’il maîtrise. Sur son dos, lors de l’un de ces longs voyages, il a pris un petit garçon pour qui on pouvait craindre le pire, mais qu’il a fini par rendre à sa famille. Un geste qui restera un mystère…

Le nom du 49ème :

Bookman et Lavi ont rejoint Doug à Paris pour mener ensemble une enquête. Non loin de là en effet, à Élysée, de nombreux décès leur ont fait penser qu’un akuma faisait peut-être des siennes, d’autant qu’une rumeur assez louche circulait, disant que ceux qui allaient prier près d’une certaine statue, dans une forêt du coin, pouvaient obtenir la résurrection d’un être perdu. Ce qui ressemblait fort à du Comte Millénaire ! Après avoir attrapé au vol quelques précieux premiers renseignements, ils se sont rendus chez le dénommé Jérôme Delessert, veuf depuis peu, où ils ont commencé par interroger Serge, le fils, et Colette, la jeune domestique de qui Doug allait s’éprendre, à tel point que…

Fête d’intégration à la Congrégation de l’Ombre :

Une fête d’intégration est organisée par Komui. Allen Walker en sera : il est très curieux de savoir quelle sera la somptueuse récompense promise au vainqueur des jeux qui y seront organisés…
 

Par sylvestre, le 17 septembre 2013

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Notre avis sur D.GRAY-MAN REVERSE #2 – Le 49e nom

 
Trois récits composent ce deuxième volume de la série D.Gray-Man Reverse, et c’est le deuxième qui (à un détail près) lui donne son titre.

Le premier a tout d’un exercice de style. En tout cas sur la forme. Il fait penser à une fable ou à un conte et les ornements qui bordent chacune des pages sur lesquelles il est retranscrit appuient cette impression en donnant à l’ouvrage un petit air de livre enluminé. 1000 tragédies est un récit très court. Normalement, on aime bien ça, car ça permet de lire quelque chose de complet en peu de temps. Mais là, il y a une remise à la ligne à chaque nouvelle phrase et à chaque fois, la phrase en question s’avère être d’une structure très pauvre, style : sujet + verbe + complément. Au bout de quelques lignes, ça devient assez pénible et on en perd notre concentration par rapport au récit lui-même. On est donc content que ce soit un récit court… pour vite en avoir fini avec !

Le deuxième récit est beaucoup plus classique dans sa conception. C’est de ce récit que sont tirés les personnages visibles sur la couverture. On notera, niveau mise en page, qu’une planche ou qu’une illustration y est glissée de temps en temps. Mais rien de bien particulier à ajouter, si ce n’est qu’une grosse surprise attend le lecteur vers la fin. (En dire trop serait vous gâcher le plaisir, alors chut !) J’ajouterais donc seulement que le lecteur appréciera que l’histoire se passe… en France ! Eh oui, sympa, non ?! Ça ne change pas grand-chose, en vérité, mais ça aura poussé l’auteure, vous le verrez, à donner des petites précisions sur les menus que les héros ont mangés au restaurant où ils ont obtenu des premiers indices pour leur enquête !

Le troisième et dernier récit fait intervenir Allen Walker ; le héros de la série D.Gray-Man. Il est plus court que le précédent et fait très "manga scolaire".

D.Gray-Man Reverse : du manga version roman, du manga autrement.
 

Par Sylvestre, le 17 septembre 2013

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