DAREDEVIL
L'âge d'or
Après plusieurs années passées en prison, Alexander Bont sort enfin. Agé de 93 ans, il revient à Hell’s Kitchen. Le quartier a bien changé depuis. Et il n’a qu’une seule idée en tête : se venger de celui qui l’a mis derrière les barreaux : Daredevil, ou plutôt de celui qui se cache sous le masque du justicier : Matt Murdock, l’avocat aveugle.
Alexander Bont était l’ancien caïd de Hell’s Kitchen…
Par berthold, le 1 janvier 2001
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ISBN :
284538744X
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2 avis sur DAREDEVIL #11 – L’âge d’or
Frank Sin City Miller avait su amener le personnage de Daredevil vers de hauts sommets, relançant l’intêret de la série dans les années 70/80.
Aujourd’hui, la série est entre de bonnes mains. Bendis et Maleev font un travail superbe sur Daredevil, ce que confirme ce tome 11 qui comprend les épisodes US : Daredevil (vol.2) 66 à 70 : Golden Age.
On découvre Alexander Bont, celui qui fut le caïd avant Wilson Fisk. Cette histoire permet des flash-backs dans les années dites de l’âge d’Or. Pour découvrir ces années, le dessin est en noir et blanc. Bendis crée les personnages de L’Ange et du Défenseur pour cette époque : deux justiciers dont un sera assassiné par Bont. Par la suite, pour montrer la période correspondant aux débuts de Daredevil quand il avait le costume jaune, les couleurs reprennent le procédé des années 60/70. La construction du récit n’a pas du être aisée pour les auteurs, mais ceux-ci s’en sortent avec les honneurs : un travail de maître. D’ailleurs ces épisodes ont reçu un Eisner Award, une récompense fort méritée.
On va découvrir aussi celle qui va reprendre le costume du Tigre Blanc.
Et puis, c’est toujours un plaisir de retrouver Melvin Potter, alias le Gladiateur. Je me rappelle des vieux numéros de Strange où il apparaissait et où il affrontait Daredevil.
Un numéro de Daredevil à ne pas rater.
Par BERTHOLD, le 28 août 2006
Encore une fois Bendis arrive avec un très bon concept, une idée très porteuse, son intrigue commence d’ailleurs très bien, avec des jeux de flash back, de changement de style etc. Même ce personnage sorti de nulle part (pour info le premier "caïd" qu’a combattu Daredevil à ses débuts c’était… le Hibou (ironie du sort quand on réfléchit à un précédents album !)) est très crédible. C’est passionnant mais assez vite les "arguments" du scénario commencent à clocher et la fin part en queue de boudin, on en vient à se dire, finalement, "tout ça pour ça !!!! Bof ! Et franchement c’est dommage car encore une fois on pouvait amener la série vers des horizons vraiment atypiques qui pouvaient permettre à Bendis d’aller jusqu’au bout de ce qu’il avait introduit sur le personnage et ses ambitions. Il n’empêche que pour le coup Maleev, de son côté, continue de complètement nous souffler avec son graphisme qui nous monte ici de nouvelles facettes !
Par FredGri, le 1 septembre 2008
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