DAREDEVIL
Daredevil : Reborn
Après ce qu’il a vécu lors des évènements connus sous le nom de Shadowland, Matt Murdock, alias Daredevil, a quitté New York. Il ne veut plus porter le costume rouge du héros.
Murdock erre donc sur le territoire américain, sans destination fixe. Jusqu’au jour où il tombe dans une petite bourgade où il est mal accueilli par le shériff local. Il va vite s’apercevoir que les forces de l’ordre sont corrompues et qu’ils en veulent aussi à sa peau.
Murdock n’a pas d’autre choix… Ce qui risque de changer, peut être, son destin…
Par berthold, le 19 janvier 2012
-
Scénariste :
-
dessinateur :
-
Éditeur :
-
Collection s :
-
-
Sortie :
-
ISBN :
9782809422238
Notre avis sur DAREDEVIL # – Daredevil : Reborn
Il est vrai que la saga Shadowland, imaginée par Andy Diggle, avait fortement bousculé la vie de Daredevil.
Nous avions vu, à la fin, que le héros ne voulait plus être le héros qu’il était auparavant, ne voulait plus rester à New York après le mal qu’il a fait.
Diggle dans cette mini série intitulé Daredevil : Reborn va entrainer l’ancien avocat sur les routes et le mener dans un endroit perdu où, malheureusement, les évènements feront qu’il doit prendre une décision qui risque de changer peut être son destin.
Le scénariste écrit une histoire assez prenante, assez bien menée qui nous change un peu du héros urbain qu’est Daredevil. On va y croiser une belle bande de salopards contre qui Murdock doit faire face… seul. Le récit n’est pas grandiose en soi, mais s’avère être un bon divertissement. Cela ressemble aussi à un bon western !
Le final nous montrera ce que va décider Murdock pour son avenir.
Davide Gianfelice, le dessinateur du premier volume de Northlanders fait un boulot correct avec ce Daredevil. Il s’amuse lors des scènes d’actions qui par moment peuvent s’avérer assez violentes. On sent que l’artiste prend aussi plaisir à dessiner les gueules des personnages, par exemple.
Bref, une mini-série fort agréable à lire, qui ne renouvellera pas le genre, mais qui reste du très bon divertissement. Et c’est ce qui compte aussi !
Par BERTHOLD, le 19 janvier 2012