[dBD]
Novembre 2006
Au sommaire du n°7 :
Actualités et autres nouvelles du monde de la bande dessinée ;
SuperDupont et Solé : la rencontre en page 8 ;
L’événement est consacré à Shirley, Dino et Margerin en page 14 ;
Une autre rencontre avec Ana Mirallès en page 40 puis avec Goossens en page 64 ;
L’examen de passage sera pour Zabou en page 52 et pour Didier Gustin en page 62 ;
Le coup de projecteur est réservé à Chabouté pour son nouvel album sur Landru ;
L’indispensable laisse la parole à Alfred et Olivier Ka pour leur « Pourquoi j’ai tué Pierre » ;
Les souvenirs de Filippini se tournent vers Jijé et la prépublication du mois met en avant le dernier opus de Jean-François et Maryse (hein ! pas Elise comme il est écrit sur la couv, rien que ça …pfff… ces hommes qui mélangent les prénoms ! ) Charles : « War and Dreams » Casterman.
Par MARIE, le 1 janvier 2001
Notre avis sur [dBD] #7 – Novembre 2006
Le nouveau [dBD] est arrivé et avec lui une belle brochette de nouvelles !
Comme à son habitude, Frédéric Bosser nous livre ses sentiments dans l’édito et nous dirige de fait directement vers une auteure très touchante : Ana Mirallès. Le rédac chef est tombé sous son charme et le communique. Autres auteurs très touchants : Margerin et le couple d’humoristes Shirley et Dino. Les trois compères se livrent dans un très long article ainsi que la gracieuse Zabou qui nous apprend que son papa est entre autre un … auteur de bd !
Beaucoup d’entretiens dans ce numéro plus le départ de la prépublication du prochain album de J-F et Maryse Charles et faute de place, la publication des planches et l’abécédaire disparaissent. Les petits labels sont toujours là.
Le magazine change doucement sans perdre de sa qualité rédactionnelle qui est un point fort de [dBD] ni de sa qualité esthétique. Le choix du papier et le maintien du format en sont les signes principaux (à l’instar du « Bang » qui joue dans ce même registre de mag de luxe).
Le ton général du magazine est à l’humanisme. On parle davantage des relations humaines, des parcours des auteurs, de leurs rencontres, des sujets qu’ils appréhendent plus que de leur rentabilité ou de leur classement au top 50.. Un peu de tendresse dans ce monde de brutes ?
Ca aurait pu s’il n’y avait eu le fantôme de Landru, planant sur le magazine, dirigé par Chabouté, maître es n&b et donnant une rare intensité à un personnage dont on déclinerait toute invitation.
Plein de coups de cœur donc et pour n’oublier personne –Didier Gustin, Goossens- Solé et Superdupont – Li An etc, il vaut mieux lire le mag riche en rencontres.
On attend avec impatience celui de décembre ouvrant la porte à la presse et aux hommes politiques, de quoi se réchauffer avec les premiers frimas.
Excellent numéro !
Par MARIE, le 3 novembre 2006