[dBD]
Janvier 2007

Au sommaire de ce n°9 de janvier 07 : Outre la prépublication du nouveau Manara : « les yeux de Pandora », de nombreuses critiques avec une nouvelle mise en page plutôt réussie, des interviews d’auteurs, une page nostalgique sur Raymond Poïvet ; des rencontres et des brèves et 3 planches en avant première pour des bandes dessinées très attendues courant 2007.

Par MARIE, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur [dBD] #9 – Janvier 2007

Quelle couv ! Impossible de ne pas la voir, on passe et repasse devant le kiosque mais c’est irrésistible : Cette fille est sublime ! Ok, leçon numéro 1 : Apprendre à se cambrer avec désinvolture, la taille fine, les seins en avant et, l’air de rien, imaginer qu’on est la plus belle !
Bien évidemment le nouveau [dBD] ne se limite pas à sa couv ni à ses superbes couleurs ; les mises en pages, les chroniques d’albums et bien sûr les interviews font de lui, un nouvel exemplaire très intéressant.

Quelques lignes savamment rédigées par les journalistes maison comme dit Frédéric dans son édito et le jeune auteur tout comme l’ancien est souvent mis en avant et avec tact car en général, l’équipe de [dBD] a fait ce choix, semble-t-il, de parler davantage de ce qu’ils aiment plutôt que de perdre leur temps et leur espace de rédaction pour des livres, des gens ou des évènements décevants. Non que ça n’arrive jamais mais la polémique n’a pas l’air d’être le point d’honneur du journal.

Alors on plonge avec les auteurs interviewés dans leur intimité qu’ils nous dévoilent avec générosité, et on y croit. La lecture est touchante, humaine et toujours instructive.

Malgré un combat difficile pour garder la tête hors de l’eau sur le marché de la presse spécialisée en France, [dBD] s’en sort avec les honneurs et a cet atout des grands vins, il se bonifie ave l’âge. Voilà un magazine à lire avec intérêt, on y apprend beaucoup de choses et on y découvre de nombreux auteurs ainsi que leurs œuvres. Si Gilles Ratier, explique que le marché arrive à maturation en 2006 dans son rapport annuel pour l’ACBD, on ne peut qu’être convaincu et se dire que les lecteurs de bande dessinée ont encore de beaux jours devant eux.

A lire, à partager, à offrir…

Par MARIE, le 12 janvier 2007

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