DC UNIVERSE
Crépuscule

Barry Allen alias Flash et Hal Jordan, un Green Lantern, se recueillent devant la tombe de la famille Wayne. Ils rendent hommage à Bruce Wayne, le Batman, à leur façon.
Ailleurs, il semblerait que des anneaux noirs font revivre des héros disparus ou même des vilains. C’est la cas pour Ralph et Sue Dibny qui s’en prennent à Hawkman et Hawkgirl.
Martian Manhunter attaque Green Lantern et Flash.
Garth et Mera se rendent compte que la tombe d’Arthur Curry a été profané. Ils vont vite se rendre compte qu’Aquaman est revenu aussi et qu’il les attaque sans leur laisser la moindre chance.
Ce phénomène prend de l’ampleur et les héros ne sont plus vraiment en état de riposter…

 

Par berthold, le 28 novembre 2010

Notre avis sur DC UNIVERSE #59 – Crépuscule

Blackest Night ! Enfin !
La saga dont tout le monde parle et qui a fait un malheur aux USA, commence vraiment dans les pages de cet excellent numéro de DC Universe avec les épisodes suivants : Blackest Night #0, 1, 2, Green lantern #44, Justice League of America #38.

Blackest Night
est orchestré par le scénariste Geoff Johns, ce qui signifie que la qualité sera au rendez vous, que le récit est prometteur et qu’au final, le lecteur ne sera pas déçu.

Johns nous met dans l’ambiance d’entrée : nous sommes dans un cimetière, la nuit, et Hal Jordan est devant la tombe des Wayne. N’oublions pas que pour lui (et les autres) Bruce Wayne/ Batman est mort. Le Green Lantern est rejoint par Barry Allen le Flash, qui vient de faire son come back (lire DC Heroes #1). Les deux abordent le sujet de la mort et de la résurrection tandis qu’ailleurs des anneaux noirs (comme ceux des green lantern) redonnent vie à des héros ou des vilains morts. Le lecteur va assister à quelques résurrections et être témoin de la mort de quelques héros phares de l’univers DC. Le lecteur assistera aussi au retour de J’onn J’onzz, porteur de l’anneau noir et qui s’en prend à ses vieux amis. Tout cela nous met direct dans l’ambiance servie par un suspense insoutenable. Lorsque j’ai refermé ce numéro, je regrettais de ne pas avoir la suite en main. Vous verrez comment les héros de DC sont mis à mal avec une JLA moribonde.

Au dessin, vous serez éblouis par le trait d’Ivan Reis qui signe l’un de ses meilleurs travaux et vous apprécierez le trait de Mark Bagley (sur Justice League of America).

Plongez vous donc sans modération dans la Blackest Night, vous ne le regreterrez pas !

 

Par BERTHOLD, le 28 novembre 2010

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