DC UNIVERSE
Esprit d'équipe
Le green lantern Hal Jordan doit faire équipe avec Star Saphir et son ennemi, Sinestro, pour découvrir ce que cache cette lanterne de lumière blanche apparu à Silver City, Nouveau Mexique.
A New York, des jeunes délinquants qui s’attaquaient à une rame de métro connaissent un sort peu envié. Ils sont mis en pièces par un Red Lanten : un certain Atrocitus.
La nouvelle Ligue de Justice créée par Hal Jordan connait quelques déboires : Roy s’est fait arracher un bras par Prometheus et Oliver Queen a abattu ce dernier d’une flèche dans la tête. Il va falloir que cette nouvelle équipe prenne de nouvelles marques…
Par berthold, le 5 octobre 2011
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Sortie :
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ISBN :
_201109140
Notre avis sur DC UNIVERSE #64 – Esprit d’équipe
Un seul épisode de Green Lantern (#54) et trois de Justice League of America (~#42 à 44) sont au menu de ce volume.
Johns poursuit sa nouvelle saga intitulée Brightest Days dans les pages de Green Lantern. Nous suivons un trio d’enquêteurs inédits : Hal Jordan, Carol Ferris et Sinestro tenant de trouver le pourquoi de l’arrivée sur Terre de la lanterne blanche. Le récit est prenant de bout en bout et le lecteur aurait aimé en lire un épisode de plus. Doug Mankhe signe là encore de fort belles pages. La dernière de cet épisode vous promet une belle surprise avec le retour d’un héros (?) peu ordinaire de l’univers DC.
Avec la Ligue de Justice, Robinson va donner une sorte de conclusion à son cross-over publié aussi dans JLA : Justice à tout prix avant de plonger son équipe assez hétéroclite dans la saga Brightest Day.
Même si ça se lit avec grand plaisir, nous avons l’impression que ce n’est pas le même James Robinson qui a su tant nous enchanter avec la saga du Starman. D’ailleurs, vous noterez qu’un des personnages récurrents de cette autre série fait partie des membres de la nouvelle ligue.
Mark Bagley a certes un dessin efficace mais je ne le trouve pas à la hauteur pour cette saga. Je m’attendais à mieux de sa part.
En, bref, ce DC Universe s’avère être une nouvelle fois, malgré quelques défauts, une lecture fort agréable.
Par BERTHOLD, le 5 octobre 2011
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