DEADPOOL (V2)
Vague de mutilation
Pour la première fois de sa vie, Deadpool est riche à ne plus savoir qu’en faire!
Grâce à l’achat particulièrement bien négocié (touss touss!!) d’un bateau de pêche auprès de russes, l’anti-héros déjanté peut enfin réaliser l’un de ses plus fameux rêves: Devenir pirate!!
Mais être pirate tout seul, ça craint! Bob, raté de l’HYDRA qui vit une vie terne et sans saveurs, accepte donc la proposition de Deadpool, s’imaginant déjà second du capitaine… et certainement pas en perroquet du pirate le plus nul de l’histoire de la piraterie!!
Afin de vivre enfin de vraies aventures de pirates, l’équipage boiteux met le cap sur l’île de Jallarka, mais le rêve risque vite de tourner court…
Par Matt, le 4 avril 2011
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
_201104601
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Notre avis sur DEADPOOL (V2) #1 – Vague de mutilation
Fort de sa présence dans les derniers évènements de l’univers Marvel comme Dark Reign ou Le Retour du Messie, Deadpool s’offre son second titre exclusif en France, près de 10 après l’arrêt de la parution de sa première série.
Alors qui est Deadpool? Inventé dans le début des années 1990, Wade Wilson de son vrai nom fait son apparition dans l’univers Marvel sous les traits d’un homme brisé par les expérimentations qu’ont mené sur lui les scientifiques du Département H, au sein du projet Arme X (Oui oui, comme Wolverine). Mercenaire complètement dérangé, il a affronté à de nombreuses reprises, armes à la main et blagues foireuses en bouche, toutes sortes de héros ou de mutants durant deux décennies.
Fort de son succès de guest-star auprès du public, l’anti-héros souvent looser et dont les hallucinations et la passion pour les armes en tout genre ne laissent personne insensible se paye le luxe d’avoir son propre titre personnel une fois de plus en France.
Au programme, rien de bien nouveau dans l’univers Deadpool: Hallucinations, situations explosives surréalistes, jolies pépés et humour bas de plafond seront à nouveau au rendez-vous tous les deux mois dans nos kiosques.
Je n’ai jamais été fan des récits où Deadpool est le héros. Pour moi, les auteurs en font généralement trop, et le personnage n’exprime son vrai potentiel qu’au travers de duos, comme ce fut le cas avec Cable maintes et maintes fois. C’est encore le cas avec cette seconde série, ou du moins avec ce premier volet : le réchauffé ne prend pas personnellement. Même la couverture est assez fade et ne rend pas hommage au mercenaire déjanté.
Donc je n’accueille pas ce nouveau numéro avec beaucoup d’enthousiasme, alors que d’autres peut-être se réjouissent de cette réapparition pleine et entière.
A voir dans les prochains numéros si les scénaristes arriveront à le manier correctement, tout en cultivant intelligement sa maladie mentale!
Par Matt, le 4 avril 2011
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