Death Sentence
Le virus G+ est un agent infectieux qui se transmet par voie sexuelle et permet à la personne infectée d’avoir des pouvoirs extraordinaires, mais au bout de six mois, la personne meurt.
Verity, une jeune fille et Weasel, une rockstar et Monty ont ce virus qui leur amène des ennuis. Une société secrète s’intéresse à eux. Par contre, Monty veut utiliser ses pouvoirs pendant les 6 mois, et il veut se faire reconnaitre du monde entier, même s’il faut, pour se faire, devenir l’ennemi de la Terre…
Par berthold, le 13 mars 2015
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782756062341
Notre avis sur Death Sentence
Death Sentence. Et bien, amis lecteurs, je peux vous assurer que cette lecture, c’est une tuerie !
Montynero et Mike Dowling nous offrent une relecture du mythe du "super-héros". Cette version est assez trash, violente et sexy et n’est vraiment pas à mettre entre toutes les mains. D’ailleurs, certains lecteurs risquent d’être fortement choqués par certains propos.
L’intrigue nous montre trois personnes infectés par ce virus : Verity, Monty et Weasel, et nous explique leur destin. Ainsi, nous apprenons que le virus se transmet sexuellement et qu’outre le fait d’avoir des pouvoirs, la personne se découvre un fort potentiel sexuel. Comme on va le voir avec Weasel et Monty qui n’arrêtent pas de coucher avec des femmes. Si Weasel se fournit parmi ses fans, Monty, lui, ne fait pas dans le politiquement correct, comme vous le constaterez dans ce volume.
Le livre s’avère passionnant et prenant ! La tension monte petit à petit pour exploser à la fin !
Graphiquement, j’ai apprécié le talent de Mike Dowling. Son style est très efficace. Il met en scène des passages violents visuellement et même limite choquant ! Les expressions de Verity ressortent bien. Quand à Weasel et Monty, les personnages ont leur charisme aussi.
Death Sentence est un divertissement intelligent et surprenant. Une lecture intéressante du mythe des pouvoirs tout en ayant un echo avec certaines actualités qui sont toujours en cours aujourd’hui.
Par BERTHOLD, le 13 mars 2015
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