DEGENERATE HOUSEWIVES
Volume 3

Le dernier volume s’était terminé avec Catherine qui voyait ses secrets lesbiens révélés à tous. Quelques mois ont passé et elle finit un traitement auprès du docteur Nelson qui lui dit qu’elle va bientôt pouvoir sortir, qu’elle est enfin libérée de ses pulsions délirantes. Une fois arrivée dans son nouveau quotidien, Catherine finit par progressivement s’ennuyer. Un soir, néanmoins, on sonne à sa porte, elle ouvre et découvre Stéphanie qui vient de retrouver sa trace. Aussitôt Catherine replonge, réduisant à néant sa thérapie… Inquiète du silence de sa patiente le Docteur Nelson vient aux nouvelles, elle découvre que Catherine a non seulement repris ses vieilles habitudes, mais qu’en plus elle risque de se faire entraîner elle aussi dans ce jeu pervers…

Par fredgri, le 15 septembre 2014

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Scénariste :

REBECCA
dessinateur :

REBECCA
Éditeur :

Dynamite
Genre s :

Pornographie

Vie Quotidienne
Sortie :

septembre 2014
ISBN :

9782362341120

Notre avis sur DEGENERATE HOUSEWIVES #3 – Volume 3

Nouvel épisode de cette série qui explore les tendances lesbiennes de son héroïne, tour à tour soumise et dominatrice. L’auteur nous fait croire un temps qu’il y a un semblant de fond psychologique, que Catherine pourrait éventuellement avoir changé, mais finalement le schéma se reproduit encore et encore, avec néanmoins le côté "humiliation" en moins.
Là on est en plein défouloir saphique, le plus basique, le plus primaire. Le scénario passe petit à petit en arrière plan et finalement tout se résume vite à une succession de pénétrations diverses, même la rigueur de la belle docteur ne fait pas illusion longtemps, il lui suffit d’à peine quelques pages pour rejoindre les deux amies et gouter les plaisirs du god !

Bien sur, aucune subtilité dans tout ça, ça n’est visiblement pas le but de la manœuvre. Mais pour autant qu’on soit amateur de ce genre de BD défouloir, onaniste, on peut se laisser séduire par l’atmosphère extrêmement chaude qui se dégage de ces pages. Les héroïnes ont un certain charme, c’est vrai, même si elles ne sont vite réduites qu’à leur rôle "d’outils" narratifs, sans véritable profondeur (façon de parler bien sur…) !

Pour amateur du genre, en attendant la suite…

Par FredGri, le 15 septembre 2014