DEGENERATE HOUSEWIVES
Volume 4

(Housewives at play 8 et 9)
Catherine est en visite, avec sa fille Melissa, chez sa sœur Lynn. Dès que le mari de cette dernière a le dos tourné elles en profite pour se déshabiller et assouvir tout leurs désirs saphiques ! Cependant, alors qu’elles vont s’acheter des robes, des sous vêtements, elles se font kidnapper par deux femmes qui s’empressent de les revendre à des jeunes super stars de la musique en mal d’esclaves. Ainsi, Lynn se retrouve alors réduite à servir d’animal de compagnie à une jeune chanteuse pop qui l’exploite en extrayant son lait maternel… !

Par fredgri, le 26 mai 2015

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Notre avis sur DEGENERATE HOUSEWIVES #4 – Volume 4

On commence à bien connaître l’univers de Rebecca, de ses ménagères lesbiennes qui aiment soit soumettre leurs partenaires soit leur obéir. Catherine nous avait montré auparavant que cette abnégation pouvait l’amener à toutes les extrémités, quitte même à y mêler sa propre fille ou sa sœur ! Ici, pourtant l’histoire prend une nouvelle dimension, les "héroïnes" ne sont plus que réduites à un état d’animal, tout juste bon à manger dans une gamelle et tendre la croupe, rien de plus. Il n’est donc plus question de désirs ou de fantasmes, mais bel et bien de renoncement.
Dans ce volume nous ne voyons d’ailleurs que le sort de Lynn, la suite devrait nous éclairer au sujet de sa sœur et de sa nièce.
Toutefois, en parallèle, Rebecca "réintroduit" le personnage de Jennifer qui vient dynamiter le mariage de sa cliente Karen. Il n’y a pas de croisement avec le destin de Catherine et des autres pour l’instant, mais en tout cas cela permet à l’auteur de réaffirmer sa volonté de casser le modèle familial pour de bon avec cette parodie perverse du mariage qui se conclue par une séance de godemichet devant l’assemblée réunie à l’église !

Rebecca ne propose pas d’approche particulièrement subtile, on est dans une sorte de caricature extravagante du récit lesbien sans l’humour ! Ça n’est pas forcément désagréable pour autant, c’est juste qu’en dehors du premier degré il n’y a guère de fond, quand bien même ça n’est traditionnellement pas l’ambition non plus de cette série, de toute façon !

Donc un volume, passé peut-être un peu trop inaperçu, mais qui entretient parfaitement l’ambiance de la série. La suite arrivant en juin, on n’aura pas trop à attendre !

Pour public averti !

Par FredGri, le 26 mai 2015

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