DEUX EPEES
L'école de la Licorne

Elcira, ou Cira pour les intimes ou « Deux épées » pour la garde, vit de rapines avec ses amis mais secrètement, pour honorer la mémoire de son père, elle souhaite rentrer à l’Ecole de la Licorne. Cette école forme les « premières épées ». Ce sont des escrimeurs aux techniques parfaites et stupéfiantes et le sort d’une guerre se joue dans le résultat de leurs duels.

Cependant, pour entrer dans cette école, il faut faire parti des familles riches et puissantes du pays, ce qui n’est pas le cas d’Elcira.

Au détour d’une petite escarmouche avec la garde sur le marché, elle se fait connaître pour sa dextérité mais cette publicité attire l’attention sur le commerce de Mamma et met ses amis en danger. Mais elle va assister à un combat épique qui risque de bien changer sa vie…

Par eric, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur DEUX EPEES #1 – L’école de la Licorne

Deux épées se veut une histoire d’héroic fantasy dans le pur style des dessins animés japonais, regorgeant de coups plus incroyables les uns que les autres. Et par son sujet sur l’escrime, non rien à voir avec les jeux de Pékin, on verrait plus une référence du côté d’un jeu vidéo comme Soulcalibur. Avec tout cela, il faut avouer que cette nouvelle série avec son format et son style qui vise les plus jeunes a de quoi séduire. Ce premier tome est dynamique et on entre vite dans le récit. Il mélange un peu trop les genres à mon goût, en faisant intervenir le côté escrime et le combat des deux Titans. Cet artifice qui permet de relancer le récit n’était sans doute pas nécessaire.

De son côté le dessin a un style typé manga comme c’est souvent la mode en ce moment, mais il est nerveux et dynamique. Il donne l’impression de sortir du monde de l’animation, et j’ai parfois l’impression que les personnages, essentiellement les personnages secondaires se ressemblent beaucoup d’une série à l’autre. Il suffit de regarder les personnages des séries animées produites par Marathon pour comprendre de quoi il s’agit. Certes cela à un côté rassurant, ce n’est pas déplaisant en soi, mais du coup cela manque d’originalité. Mais quoi qu’il en soit les personnages principaux arrivent à se démarquer et c’est l’essentiel.

Ainsi, Deux épées est une bonne petite surprise, plaisante à lire, qui avec son entracte final (on ne rigole pas) se veut didactique et presque culturelle, un peu comme le faisait une série comme "Les mystérieuses cités d’or". Pour totalement séduire le public visé, il ne faudrait pas que le second tome tarde.

Par Eric, le 29 décembre 2007

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