DEVILSLINE
Tome 2

 
Lorsque la tireuse d’élite 07 a appuyé sur la détente, la vitre de Taira a volé en éclat et la jeune fille a été blessée au visage. C’est Anzai qui était la cible de la sniper, mais il n’a pas été tué : il a seulement été blessé et c’est plein de sang qu’il a disparu, désireux de s’éloigner à tout prix de Taira plutôt que d’être tenté de lui sucer le sang de sa blessure.

Grâce à une bague géo-localisable que porte Anzai, son médecin va apprendre à distance qu’il a absorbé une énorme quantité de sang humain. Craignant que cette absorption soit conséquente à un crime qu’il aurait commis, il va être repéré puis rattrapé et c’est avec un certain soulagement que lumière sera faite sur le mystère de cette quantité de sang humain qu’il a effectivement avalée.

Taira va alors faire connaissance avec Hans Ri, un autre être mi-humain, mi-vampire. Suite à quoi un attentat va avoir lieu en ville où Anzai va se rendre ; muni d’un masque isolant son odorat et son goût et réfrénant ainsi ses pulsions vampiriques…
 

Par sylvestre, le 8 novembre 2015

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Notre avis sur DEVILSLINE #2 – Tome 2

 
Beaucoup de choses ont lieu dans ce second tome et quelques nouveaux personnages s’invitent au casting au gré de différents épisodes. Dans ce volume, on révise un peu certains aspects "pratiques" relatifs aux vampires qu’on avait plus ou moins déjà vus dans le tome précédent : tout ce qui est piqûres d’anesthésiant ou de tranquillisants qu’ils peuvent se voir administrer, tout ce qui est possibilité pour un couple mixte d’avoir un enfant comme ci ou comme ça, etc… On sent donc que l’entité même des différents types de personnage a été réfléchie. On voit même (avec le boss de la tireuse d’élite 07) que certains humains peuvent être considérés comme étant pires que les vampires, ce qui ajoute en quelques sortes un type de « caste » dans l’univers de ce manga. Mais ceci étant, l’intérêt de l’histoire reste encore assez faible et la lecture de facto assez décevante. Attendons donc de voir si, une fois les bases mieux mises en place, les codes définis et les personnages adoptés, le récit tendra à être meilleur ou non…
 

Par Sylvestre, le 8 novembre 2015

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