DOFUS
Chacun cherche son Eca
Les trois déesses de la beauté ont trouvé leur chevalier protecteur en le personnage du Craqueleur, un géant de pierre à la force dépassant l’entendement. Mais Vald aime le challenge et se réjouit de cet adversaire à son niveau.
Arty est en très mauvais état suite aux combats qu’il a menés. C’est dans le ville de Bonta que lui et ses amis vont se rendre pour le faire soigner par Maître Noir Jack.
Pendant qu’Arty se fera remettre sur pied, Vald partira (faire un peu de shopping) à la recherche d’une nouvelle épée et en trouvera une, mais pour la payer, il va compter sur la prime de 500.000 kamas promise au vainqueur d’une course de légende, le Dragokart, à laquelle il va s’inscrire.
Par sylvestre, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782952450959
Notre avis sur DOFUS #3 – Chacun cherche son Eca
Delirius continuum ! Nos héros se succèdent à la tête de combats aussi improbables les uns que les autres, face à des adversaires tout droit sortis de l’imagination des auteurs en profitant pour rendre hommage à des tas de choses, de personnages et d’ambiances qui sont leur culture BD-jeux-video-téloche-ciné-etc…
En effet, c’est un des points forts de cette série : si le scénario en lui-même n’est pas "the ultimate story", le lecteur a en tout cas le plaisir de pouvoir au fil des pages traquer les multiples clins d’œil qui sont lancés ou tout simplement les gags qui sont glissés ça et là.
Et en plus, même si les univers concernés par ces clins d’œil sont majoritairement issus de trucs de djeuns’, on n’aura pas loupé, dans le tome précédent, cette montre molle (référence à Salvador Dali) de la page 158 ! Comme quoi. Tout fou-fou qu’ils veulent paraître, Tot, Ancestral Z et Crounchann n’ont sûrement pas une cervelle ayant la consistance d’un Katrepat ! ^^
Gags dans les dessins, comme cet arbre-femme de la page 39, palindromes comme le nom Oiram ou le titre de Maître Noir Jack qui est un maître "eniripsa", clins d’œil comme ceux faits à la (future, au moment de la sortie de ce tome 3) BD Pandala ou à de nombreux jeux vidéo : regardez ces décors avec ces arbres tout carrés, ces forêts labyrinthiques, etc…
Bref, c’est truffé de détails, et cela malgré un dessin très simple et aux contours très gras et francs. Et c’est un des principaux éléments qui fait que Dofus est bien sympa et qu’on se laisse entraîner de plus en plus…
Par Sylvestre, le 9 mai 2007
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