DOFUS
La cité de Djaul

Généreux en pages, ce tome 7 de la série Dofus est un des autres indicateurs de la bonne santé et de l’ambition des équipes créatrices de cet univers. Il accompagne en effet à peu de choses près la sortie d’une nouvelle version du jeu en ligne (Joyeux Noël !) ainsi que la parution du tome 1 de la série Dofus Arena (après la série Dofus Monster ou le Dofus Mag, oui, oui, je vois que vous suivez !)

Car c’est un nouveau rythme de travail que s’est imposé l’équipe. 5 planches par jour ! Un véritable sacerdoce de mangaka ! Mais tout ça vraiment pour le plaisir des fans pour qui l’attente est longue malgré l’éventail des parutions proposées par les éditions Ankama et leur régularité.

De l’humour of course, pas mal de baffes distribuées, des surprises, aussi, comme la renaissance du roi de Bonta. Et des références, nombreuses, parmi lesquelles peut-être un clin d’œil à Amsterdamned ou à Alien en la personne de Sphincter ou encore un clin d’œil à Monstres et Cie avec ces portes passant d’un espace à l’autre au travers lesquelles la clique de héros va chercher son chemin aux trousses de Many…

Une fois encore, c’est sur un suspense d’enfer que l’on voit le rideau se refermer. On laisse plein de héros dans autant de situations dont on aimerait savoir comment elle vont tourner… surtout qu’on sait désormais que dans Dofus, même le tragique prend des airs de rigolades ! (Voyez un peu la coupe de celui qui n’est pas passé assez vite dans la "zaap" !!!) ^^

Dofus-addicts, je suis sûr que vous n’avez pas attendu de lire cette petite chronique pour vous ruer sur ce tome 7. Et vous avez bien fait ! Merci les artistes, et merci aux éditions Ankama !
 

Par Sylvestre, le 6 janvier 2008