DOFUS
Rushu hour
Devant le roi Clustus, Gratigan et Djaul avaient entamé leur duel dans la cité dévastée lorsque le démon Brumaire vint à l’aide de Djaul, le vexant terriblement d’autant qu’il avait pour l’occasion fait appel à deux démons parmi les plus redoutables : Karibd et Silar.
C’est l’histoire de ces deux-là qui va vous être contée, cher lecteur, celle de ces deux frères dont la mère, une guerrière Crâ, avait été violée puis tuée par le prince Népo et dont le père, Maël, avait également été assassiné ; comment ils ont réussi, à force de persévérance, à accéder au "plan parallèle" où vivent les démons (Rushu à leur tête) et à les persuader de les aider dans leur terrible projet de vengeance envers tous les humains…
Par sylvestre, le 1 janvier 2001
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Notre avis sur DOFUS #8 – Rushu hour
Maxi flashback, dans ce tome 8 ! Regardez la tranche du livre, côté pages : on dirait carrément un sandwich blanc / noir / blanc. Ou un bonbon à la réglisse enrobé de sucre. Ou un appui fretté en néoprène. (Etc…) Pages blanches, disais-je… Celles-là, c’est pour le présent. Quant aux noires, vous l’aurez compris, ce sont celles qui nous font faire un retour sur la vie de Karibd et de son frère Silar, humains devenus démons. Pages qui composent la principale partie de la bande dessinée.
Ce tome 8 est un régal. Il continue la série Dofus avec le même dynamisme, le même humour et les mêmes idées délirantes. Certes, et Tot le scénariste en fait son mea culpa, il est aussi assez vulgaire, parfois, notamment lorsque Karibd et Silar s’entretiennent avec Rushu. Mais c’est qu’on n’a pas affaire à des mariolles, là ! Plutôt au top-ten des démons les plus répugnants… Ceux qui font trembler votre âme de lecteur qui pourtant en redemande ! Et effectivement, le tome 9 sait se faire désirer après toutes ces émotions : non seulement ce maxi flashback nous a détournés de la scène de démarrage du tome, mais en plus on retrouve Dodge dans les dernières pages, comme une promesse de le retrouver lui aussi bientôt.
Un dessin toujours aussi original et spécifique, un casting au-delà de vos espérances, et surtout une bande dessinée qui ne se prend pas la tête tout en ne vous prenant pas la vôtre. C’est tout bon, c’est Dofus ! Yeah !
Par Sylvestre, le 26 avril 2008
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