DOGGYBAGS
Tome 7
Welcome home, Johnny !
Une cérémonie officielle a été organisée dans sa bourgade pour Johnny qui est revenu d’Irak. Mais lors du discours qu’il a fait, les doutes qu’il a émis quant à la légitimité de la présence américaine en Irak lui ont valu des ennemis qui n’ont pas mis longtemps à lui tomber dessus…
Lupus
Une station service dans laquelle plusieurs chauffeurs de poids lourds se sont arrêtés pour passer la nuit va être attaquée par une meute de loups. La résistance humaine va alors s’organiser et la nuit virer au cauchemar…
Wintekowa
Cinq ans après le drame qui a conduit sa femme à se faire amputer et qui a sonné la disparition de leur fils, un homme part enfin dans les montagnes à la recherche du "monstre" qui a enlevé le gosse. Non sans appréhension, car il sait bien que le mot "monstre" n’est pas galvaudé : sa femme en sait quelque chose…
Par sylvestre, le 17 avril 2015
Notre avis sur DOGGYBAGS #7 – Tome 7
Un peu de sang neuf dans le casting des auteurs, et beaucoup de sang frais dans les histoires qu’ils nous racontent ! Une fois encore, c’est à un excellent numéro de Doggybags que l’on a droit, avec des histoires "sans concessions" dans lesquelles rien ne nous est épargné, qu’il s’agisse de sang, de sexe, de crasse ou de démence. Tout part dans ces trois histoires de malaises, de peurs, de doutes… Puis c’est l’escalade. Ça va crescendo, tout basculant d’un quotidien banal vers du fantastique ou vers de l’horreur avec un grand H.
Dans ce tome 7 respectant en tout point la charte graphique de cette série du Label 619, ces trois histoires viennent compléter l’ahurissante collection de mini récits qui ne cesse de croître depuis le tome 1. Avec le même packaging : un éditorial, la page du courrier des lecteurs (toujours aussi amusante grâce aux échantillons choisis !), des fausses pubs, la présentation sommaire des auteurs, des pages documentaires complétant les sujets abordés par des exemples supplémentaires, et un poster… Et le même design rappelant ces revues US vintage vite lues.
C’est du bon, que du bon, mais c’est toujours à ne pas mettre dans toutes les mains. Avis aux amateurs de gore et de frissons !
Par Sylvestre, le 17 avril 2015
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