DONJON POTRON-MINET
La Chemise de la nuit
Hyacinthe de Cavallère se souvient . Il se rappelle son enfance et
la raconte par écrit en remplissant des pages de journal. Cette fois il se
rappelle comment il a découvert l’existence d’un oncle handicapé et qui
règne à Antipolis à l’écart du reste de la famille. Il doit apprendre encore
de nombreuses choses et son père l’envoie chez le comte de Florotte, l’oncle
inconnu jusqu’àlors. Il part et rencontre en chemin le Docteur Hyppolite
(qui n’est autre que le père de Alcibiade – voir Donjon Zénith et Monsters
2). Les deux compères se font dépouiller par les Brous et se retrouvent sans
une pièce pour passer le pont à péage. Ils arrivent difficilement à la
ville , rencontrent Alexandra, tueuse très belle pour qui Hyacinthe a un
coup de foudre, et se séparent. Le jeune Hyacinthe fait la connaissance de
son oncle et commence son aventure dans laquelle interviennent des lutins,
des escrocs, une femme arbre, des politiques etc….
Par MARIE, le 1 janvier 2001
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
2840554232
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Notre avis sur DONJON POTRON-MINET #99 – La Chemise de la nuit
Le début de toute l’aventure Donjonnesque, là où tout commence, d’où
son nom : « Potron-Minet ». C’est la série de présentation des personnages,
des décors, des caractères. C’est le dessinateur d’Isaac le Pirate qui s’y
colle et çà lui va comme un gant. L’histoire est comme un conte que l’on
raconte aux enfants ou qu’on se raconte à soi même du genre : « on dirai que
je serai un magicien ! »(prendre la voix d’un enfant dans la cour de récré),
et de fil en aiguille en entre dans cet univers et on est littéralement
absorbé, et quand on lit « fin », c’est étrange, il faut revenir à la réalité.
L’ambiance est très chaleureuse. On y parle d’amour, de générosité,
d’amitié, de justice. Dès qu’une situation négative se présente, l’adorable
« spiderman » en chemise arrive à la rescousse. Si vous aimez Donjon, il faut
absolument lire la série Potron-Minet, c’est un vrai moment de plaisir.
Par MARIE, le 18 novembre 2002
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