DOOMSDAY CLOCK
Part 2
(Doomsday Clock 7 à 12)
Tandis que les tensions autour des méta-humains enflent de plus en plus, Firestorm est désigné comme une menace extrêmement dangereuse. De son côté, Adrian Vedt continue de chercher le Dr Manhattan, avec ses compagnons de route, le nouveau Rorschach, Saturn Girl et Johhny Thunder. Ils retrouvent le Comédien, ainsi que Marionnette et le Mime. Superman, en parallèle, a du mal à gérer la tension qui monte, il veut aider son ami Firestorm, mais la situation dérape encore plus…
Par fredgri, le 23 avril 2020
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Genre s :
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Sortie :
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ISBN :
9781779501189
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Notre avis sur DOOMSDAY CLOCK #2 – Part 2
Dans cette seconde partie, Johns entre dans le vif du sujet. Il confronte d’une part, la montée anti méta qui commence à prendre de l’ampleur suite aux maladresses de Firestorm et qui va très vite engloutir Superman lui même. Puis les recherches d’Ozymandias et la confrontation avec Manhattan qui explique qu’il observe cet univers depuis pas mal de temps, qu’il a régulièrement interféré dans son histoire et que selon lui Superman est le centre névralgique de cette réalité…
C’est une seconde partie plus "technique" dans ses explications, je dirais même que Johns entretient une sorte d’hermétisme assez froid et nébuleux ou l’on sent bien qu’il peine à tout bien recoller, à rendre les choses cohérentes, quitte à s’emmêler les pinceaux !
Des personnages comme Saturn Girl, Johnny Thunder ou The Comedian traversent cette histoire sans éveiller le moindre intérêt, des personnages collés ici sans être véritablement exploités, tandis que d’autres comme Superman sont excessivement mis en avant, au détriment de tout le reste !
La volonté de croiser ces deux univers aux antipodes l’un de l’autre nous amène donc à cette maxi-série et je dois dire qu’au final on n’est pas toujours très convaincu par la démonstration. Ca reste très bien rythmé, mais très bavard aussi, avec un aspect très explicatif qui peut refroidir.
Alors faute de vraiment nous proposer un chef d’œuvre, comme ce fut annoncé un peu partout (comme pour la série télé), Goeff Johns livre un récit laborieux qui démontre magistralement que l’œuvre originale reste encore et toujours inégalée et que malgré tous ses efforts (et bien que Gary Frank livre des planches de toute beauté, mais moins rigoureuses que Gibbons), il n’arrive pas à la cheville d’Alan Moore !
Pour les plus curieux !
Par FredGri, le 23 avril 2020
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