DOT-HACK (.HACK)
Le bracelet du crépuscule

.hack (prononcé DotHack) se décompose en plusieurs parties : un jeu vidéo, un dessin animé composé de plusieurs épisodes, un film d’animation et un manga papier. Voici ici la partie manga distinguée des autres par le supplément au titre : « //Le bracelet du crépuscule ».
.hack a pour ambition de venir compléter son histoire à différentes époques, entre la réalité et le monde virtuel, en fonction du support utilisé. Les auteurs ont donc voulu créer un ensemble au scénario solide que les différentes parties viendront éclairées … Autant dire que le monde semble très riche et très intéressant avec ces croisements de scénarii et les possibilités qu’ils laissent entrevoir.
Pour ce qui est de la partie manga, j’ai trouvé le dessin très agréable avec des personnages superbes et des illustrations splendides. Par contre, l’œuvre pêche quelquefois par manque de clarté dans les actions, on se perd parfois à chercher qui parle ou comment se passe l’action, ce qui ralentit la lecture.
Le scénario est, comme prévu, très prometteur avec une action dans le monde réel et dans le monde virtuel, même si ce premier tome présente surtout les personnages et le système de jeu.
Je pense que je vais donc bien suivre cette œuvre car le principe scénaristique pourrait se révéler aussi intéressant qu’une oeuvre comme Donjon … A suivre.

Par NOFL'R, le 17 mars 2004

Ce manga est excellent, vivement le 2, 3, 4, …. Les graphismes sont bien détaillés, les personnages faciles à reconnaître et les noms pas trop compliqués, contrairement à d’autres mangas, où les personnages ont des noms à rallonge.
J’avais entendu parler de .Hack grâce aux jeux vidéos et aux animés, sans jamais avoir eu plus de précision. Ce manga m’ a donné envie de pousser mes recherches, et je pense que si vous aimez les mangas et les RPG de Square, vous adorerez, comme moi, ce nouveau manga et son univers si particulier, du fait que pour comprendre toutes les ficelles de cette intrigue, il faille avoir les jeux et les animés.

Par La Chose, le 3 mars 2004