Dragon Ball - Full color
L'enfance de Goku

Après s’être facilement débarrassé de la bande des lapins, Goku, Bulma et Oolong se font voler les Dragon Ball par le mystérieux Pilaf et ses deux acolytes. Bien décidé à récupérer leur bien, les trois amis ne peuvent malgré tout empêcher leur adversaire de rassembler les 7 boules, et même s’ils parviennent à déjouer ses plans, ils doivent dorénavant attendre une année entière avant de repartir en quête des précieuses Dragon Ball. Goku et le nouveau venu Krilin profitent de l’occasion pour demander au vieux Kamé Sennin de les former… Cependant, le vieil homme leur donne une seule condition, qu’ils ramènent une belle fille pulpeuse…
Après quelques mois de formation, il est temps pour les deux garçons de prouver l’efficacité de l’enseignement de leur maître en participant à leur premier tournoi, le Tenkaïchi Budokai…

Par fredgri, le 20 mai 2024

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Notre avis sur Dragon Ball – Full color #2 – L’enfance de Goku

Maintenant que les présentations sont faites, qu’on a bien intégré les différentes personnalités, Akira Toriyama conclue la toute première quête de Goku et ses amis et nous entraîne dans la seconde partie, c’est à dire l’entraînement du garçon et de son nouvel ami Krilin, ce qui va les mener à leur premier tournoi ou l’on devine vite qu’ils vont faire des étincelles.
On est ainsi au cœur de l’esprit de la série, à la fois tournée vers du pur Shonen, avec tout ce qu’il faut d’action, d’ennemis étranges qui font pour l’instant assez pâle figure (mais cela va vitre changer…), mais aussi sur l’humour très décalé, à base d’absurde, d’allusions à base de jolies filles, de petite culotte…

Cet humour peut à priori surprendre, surtout vis à vis des critères occidentaux qui tendent à se refermer de plus en plus. On y montre un vieil homme obsédé qui rêve de tripoter des belles jeunes filles, un petit cochon dont le souhait est de se mettre une petite culotte sur la tête, avec très régulièrement des allusions pas hyper subtiles, mais qui font tout de même mouche tout de suite.
Certes, ça ne vole pas très haut, mais progressivement Toriyama construit un univers réellement très attachant, avec une pointe de naïveté qui fonctionne très bien, entre jeunesse et jeunes adultes.

Alors, en effet, on garde le sentiment que ça roule un peu en roue libre, tout du long. Dans ce volume, la quête n’est qu’un prétexte pour lancer la dynamique autour des personnages et amener de nouvelles têtes à venir les rejoindre, comme ici, Lunch ou Krilin.
L’univers en place s’étoffe, on n’en est qu’au début… Vivement la suite…

Par FredGri, le 20 mai 2024

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