DRAGONS DE LA CITE ROUGE (LES)
Alec Deraan
Alec Deraan est un mercenaire. En compagnie de son ami, le Dragon, sans oublier Shen Sey, la succube, à qui il est lié par un pacte particulier, il s’est mis au service d’un seigneur pour mettre un terme aux agissements d’une troupe de possédés. Ensuite, il découvre parmi leurs affaires un skall, ce qui signifie qu’ils étaient des gens importants auparavant. En effet, leur mission consistait à aller liberer le prince héritier de Redfelt, Nathan, contre une rançon, une épée, mais ce n’est pas n’importe laquelle, car elle est maudite. Elle détient l’âme de trois dragons. Deeran décide de se rendre au Redfelf pour en savoir plus. En fait, la souveraine du Redfeld est quelqu’un qu’il a très bien connu…
Par berthold, le 15 février 2016
-
-
dessinateur :
-
-
Éditeur :
-
-
Sortie :
-
ISBN :
9782302045019
Notre avis sur DRAGONS DE LA CITE ROUGE (LES) #1 – Alec Deraan
Les Dragons de la Cité Rouge est l’adaptation du roman d’Erik Wietzel paru aux éditions Bragelonne. C’est Nicolas Jarry qui se charge de cette adaptation.
Ce premier tome démarre plutôt bien. L’intrigue s’installe rapidement avec une bonne scène, nous faisons vite connaissance avec le héros, Alec Deraan, le Dragon et Shen Sey. Le lecteur comprend assez vite aussi qu’il y a un lien très étrange entre l’ex-soldat et la succube. et puis avec ce Dragon qui parle, cela nous un trio assez atipyque. Ce qui permet de donner un ton nouveau à cet album.
Jarry nous captive avec ce récit de fantasy où nous retrouvons tous les poncifs du genre, mais d’une manière plus intéressante. Le scénario tient donc toutes ses promesses et donne envie de poursuivre l’aventure. Surtout, vu les nombreux rebondissements de ce premier volet.
L’autre belle surprise de cette série, c’est la découverte du dessinateur David Jouvent, servi avec un rare talent par les couleurs de Vincent Cyril et de Digikore Studio. On se laisse bluffer par ces planches de toute beauté. C’est vraiment superbe, même si par moment, on peut noter quelques infimes erreurs.
C’est vivant, lumineux, expressifs… Que de bonnes choses pour enchanter le lecteur.
Ce premier tome de la série est une bonne découverte qui ravira, j’en suis sûr, les amateurs du genre et les lecteurs du roman d’Erik Wietzel
Par BERTHOLD, le 15 février 2016