ESPRIT DE WARREN (L')
L'enfant au fond du Jardin

Depuis cinq ans, dans un centre de réadaptation, Jonathan Rowland, dernière victime
du tueur Warren Wednesday, parvient doucement à se réhabituer à la vie réelle. Mais c’est sans compter le projet de tournage au cinéma de la vie de
Warren interprété par la star du moment : le beau Scott Green. Les deux hommes doivent se rencontrer pour parler du vrai Warren grâce à des témoins
dont Jonathan fait partie. L’acteur est en fait Warren Wednesday, le jeune indien « caméléon », le propre agresseur de Jonathan.Il voulait le voir pour
lui expliquer son passé et
la quête de son identité. Mais Jonathan est pris de terreur et l’entrevue tourne mal. Plus tard, le faux Green remonte toutes les pistes possibles dans le
but de trouver qui il est réellement, maintenant qu’il a compris qu’il avait
été manipulé dans son enfance et programmé pour tuer un grand nombre de
personnes. L’histoire pénètre davantage dans le sordide et l’enfance
malheureuse du vrai Wednesday est mise à jour.

Par MARIE, le 1 janvier 2001

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Scénariste :

Luc BRUNSCHWIG
dessinateur :

SERVAIN
Coloriste :

Claude GUTH
Éditeur :

DELCOURT
Sortie :

novembre 1998
ISBN :

2840552299

Notre avis sur ESPRIT DE WARREN (L’) #3 – L’enfant au fond du Jardin

Plus psychologique que terrifiante, l’histoire continue dans la catégorie noire et sordide. Le troisième tome est plus posé, plus lent, plus profond dans la réflexion mais pourtant, nous n’avons toujours pas la clé de
l’énigme. Pas de scène d’éclats cette fois (juste le début où Jonathan se
jette dans la fenêtre) et on commence à respirer. Du coup, comme le personnage central est très beau et que son destin est dramatique, on ne
sait pas si on peut l’aimer ou si il faut continuer de le détester, parce
que jusqu’àlors, il est un tueur froid et implacable. A nouveau les sujets durs de la vie sont abordés tels que l’enfance malheureuse, et toujours la
folie. Cà fait froid dans le dos et l’émotion reste très présente. Le petit
bonus : une superbe roseraie que j’aimerai bien voir chez moi !. Donc
messieurs
Servain et Brunschwing, pour la fin, c’est quand vous voulez : -)

Par MARIE, le 1 novembre 2002