Et l'enfant des étoiles

Les Nusa Tempura sont un archipel un peu particulier. La faune y est foisonnante, le tourisme est d’une incroyable diversité. Les planètes qui composent cet archipel baignent dans l’aquasphère. Cette dernière empêche les navires "plein espace" d’y naviguer, ici rien ne vaut mieux que les voiles.
C’est dans cet univers que Lilian Cortez et son acolyte Gunung vivotent en promenant les touristes ou en jouant les escortes de luxe. Après avoir croisé le chemin du redoutable Drake, leur navire est en piteux état et ils se voient contraints d’accepter une mission pour escorter des moines et une étrange relique. Mais cette aventure s’annonce plus dangereuse que prévu…

Par eric, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur Et l’enfant des étoiles

Cette nouvelle série de ce trio débute sur les chapeaux de roues. L’histoire est un peu complexe avec cet univers étrange qu’est l’aquasphère, dans lequel le lecteur arrive facilement à se perdre s’il n’y fait pas attention. Mais celle-ci est un micro univers d’une incroyable diversité. Et cette bio diversité se retrouve dans le dessin et dans les couleurs de Ludolullabi.
L’ensemble est très éclatant et le dessin souvent anguleux, à la croisée de Star Trek et de Pirates des Caraïbes, est une vraie bouffée d’air frais. On est littéralement dépaysé par cet univers. Ainsi, en flirtant avec le manga, le style de Ludolullabi s’adapte vraiment à toutes les situations, à tous les personnages et il parvient à être plus rond et moins anguleux. Mais que les fans du dessinateur se rassurent, il retrouve très vite ses bonnes habitudes.
La seule petite critique, c’est que cette débauche d’effets spéciaux et d’action nous fait perdre de vue l’essentiel : "l’enfant des étoiles".

Par Eric, le 2 octobre 2006

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