FABLES INTEGRALE
Volume 6

Fableville a été détruite, les Fables se cachent à la Ferme. Quelque chose de malsain y traîne. Bigby et la Bête ont failli se battre à mort, heureusement que Blanche et la Belle les ont séparés. Mais ce n’est pas tout : voilà que revient Jack Horner et avec lui les mauvaises surprises. Il vient leur annoncer que Kevin Horne veut réecrire l’histoire des Fables et les Littéraux sont sur leur trace. Les Fables doivent réagir assez rapidement s’ils ne veulent pas "mourir".

Par berthold, le 4 avril 2019

Notre avis sur FABLES INTEGRALE #6 – Volume 6

Ce sixième volume comprend les Fables 83 à 93, les Jack of Fables 33 à 35 et les The Litterals 1 à 3 pour le grand cross-over de l’univers de Fables.

C’est avec un certain plaisir que nous retrouvons Jack Horner de retour chez lui, avec le chaos qui le suit. On peut vraiment parler d’apocalypse car les ennuis ne sont pas loin. Outre ce qu’on sait au sujet des soeurs Page et lui, on apprend que le goujat a aussi un fils, un certain Jack Frost et il n’hésite pas à profiter de la détresse de Rose Rouge depuis la mort de Blue. On comprend pourquoi Bigby et les autres ne l’apprécient guère.
Willingham et Sturges écrivent une histoire très réussie où l’humour (est ce Comédie qui les inspire ?) tient une grande place. Le Jack serait il le "bouffon" de ce monde ?
Les auteurs scellent le destin des Littéraux e jouant avec le personnage de Bigby : la scène de l’éléphant rose est un grand moment. Il y a beaucoup de bonnes idées, parfois quelques longueurs, mais qu’importe, le lecteur s’amuse, c’est le principal !

Le graphisme de Mark Buckingham, Braun et de Akins reste en totale harmonie et donne une certaine cohésion à l’ensemble. On peut admirer les superbes couvertures originales signées par Mark Buckingham, Brian Bolland ou Joao Ruas. Du grand art. Il est vrai que les couvertures chez Vertigo ont toujours été de superbes œuvres.

Un sixième volum à ne pas mettre entre toutes les mains. Ce sont peut être des Fables, mais elles ne sont pas destinées aux plus jeunes lecteurs, ni aux âmes sensibles.

Par BERTHOLD, le 4 avril 2019

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