Face the face

(Detective Comics 817 à 820 et Batman 651 à  654)
Batman/Bruce Wayne a été absent depuis un an, pendant ce temps là il a laissé sa place à Two Face ou plutôt à Harvey Dent, miraculeusement guéri de sa double personnalité meurtrière. Seulement voilà, Batman revient, il reprend sa place, et autour de lui Gotham a changé depuis tout ce temps, le commissaire Gordon a repris sa place, Bullock s’est affranchi mais le mal continue de reigner… D’autant qu’un mystérieux assassin commence à tuer des super vilains…  

Par fredgri, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur Face the face

Pendant l’évènement 52, les trois principaux personnages de DC (C’est à dire Batman, Superman et Wonder Woman) sont sensés avoir disparus ! DC a donc décidé d’imposer à toutes ses séries un autre évènement, le One Year Later, c’est à dire que soudain, tous le monde faisait un bond d’un an dans sa chronologie, charge aux auteurs d’expliquer ainsi ce que leur personnages ont bien pu faire pendant ce laps de temps !
Ainsi, sans vraiment apporter de réponses, James Robinson s’est occupé des deux séries sur Batman pour raconter le retour du personnage à Gotham, un retour tout en remise en questions, en résolutions  mais surtout tout en surprise. Robinson a lui aussi décidé de s’éloigner pendant un temps du monde des comics, préférant se consacrer au cinéma, ainsi le voilà de retour. C’est un retour sans grands effets, plutôt assez pépère, le scénariste anglais nous ayant réellement habitué à mieux ! Néanmoins son histoire est solide et ouvre sur quelques très bons moments d’introspection, mais on sent qu’il est moins inspiré que sur ses autres succés comme Starman ou Golden Age. Mais ce qui est intéressant c’est que Robinson ne saute pas sur la facilité de faire du gros sensationnalisme autour de cette année d’absence ou de l’évènement 52 en lui même, on adroit à un scénario très classique de Batman partant enquêter sur un énnemi de l’ombre, donc rien de bien nouveau en fin de compte.
Pour les dessins, le très bon (Kirk/Clark donnent des cases magnifiques avec un sens de la finition sublime) cotoyant souvent le très bof, ce qui donne un album assez disparate, sans grande cohésion graphique, dommage !

Par FredGri, le 11 avril 2008

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