FATS WALLER
La voix de son Maître
Fats Waller est un Jazzman de génie. Il compose et joue inlassablement sur son piano. Il fait chanter les sons jusqu’à en pleurer lui même en se donnant entièrement dans sa musique.
Son cadre de vie est à Harlem, il est obèse et noir ! La femme qu’il aime se moque de lui, pourtant il composera un morceau et lui donnera son prénom : Honeysuckle.
Fats est mal aimé, mal compris, mal heureux,…Pourtant ses mélodies s’exportent dans le monde. On parle de lui en Angleterre, en Autriche, Allemagne, France… etc. La musique de Fats n’a pas de frontière, pas de couleur, pas de religion ni de classe sociale, pourrait-elle réunir le monde ?
Par MARIE, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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Collection s :
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Genre s :
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Sortie :
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ISBN :
2203391065
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Notre avis sur FATS WALLER #1 – La voix de son Maître
A lire en écoutant ce morceau par exemple
😉
(Musique de Waller)
« La voix de son maître », slogan publicitaire de la maison de disques Pathé Marconi (vous savez.. avec le petit chien blanc 😉 ) devient pour l’occasion le titre du tome 1 de la série Fats Waller.
L’ambition des auteurs est de retracer la vie et de faire connaître l’œuvre du grand pianiste de Jazz. En général on appelle cela une biographie, dans cet ouvrage, je parlerai plus volontiers de balayage rapide mais assez poignant de la vie du musicien. Son œuvre est immense, il est difficile de la raconter. Les auteurs, Italien pour l’un et Argentin pour l’autre, se soumettent à l’exercice.
Ce tome 1 dépeint principalement une ambiance, présente une époque et des personnages. Nous n’en saurons pas beaucoup plus mais l’album est important car il permet aux auteurs de travailler ensemble. Le dessin est précis, abouti et les couleurs, très demi ton, camaiëu de rouges – brun et gris.. principalement pose le ton calme, lent, voir très lent et un peu triste. Le papier est épais et le fond crème augmente encore plus cette sensation intimiste que l’on perçoit en regardant les planches.
J’ai passé un très bon moment en lisant cet album magnifique, le plaisir de l’œil est bien là mais par contre, pas question de légèreté, c’est une histoire triste.
Pour les amateurs d’histoires belles et sincères.
Par MARIE, le 26 février 2004
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